Le transfert n'est jamais direct et demande toujours une adaptation spécifique.
On pourrait résumer l'affaire en disant que l'adaptation et la progression sera d'autant plus rapide si tu pars d'un acquis cardiaque.
Même au sein d'un même sport, par exemple la course, on voit que le transfert vitesse-endurance demande du travail spécifique, quelque soit le sens de transfert.
Et c'est pareil en muscu avec le transfert force-résistance (séries courtes - séries longues)
J'ai longtemps considéré que la boxe remplaçait un travail de courses fractionnées. Je pense aujourd'hui que ce n'était qu'en partie vraie : d'un point de vue course, ça reste moins bien que de la course fractionnée.
Pour tous les sports cardiaques, le poids et la raideur des muscles sont un handicap certain, sauf à haut niveau où une juste quantité de muscles adéquats sont utiles pour apporter plus de puissance, et parceque l'avantage de la puissance remplace la 'perte cardiaque' due au surpoids associé (exemple type : le pilier de rugby)