TourneBoules a écrit:Le développement durable n'attrape pas de cancer !
Plasma a écrit:TourneBoules a écrit:Intéressant, j'attends l'avis de Plascroûte, notre aspirateur d'études sur le lait.
Plasmerde, y va imprimer et lire à tête reposée pasqu'y sait pas lire sur écran.
Robby1 a écrit:http://fcorpet.free.fr/Denis/W/Lait-toxique-enfants-Comit-Nutr-SocFrPed-Archiv-Pediatrie08.pdf
Entre les mecs qui font du fric en encourageant la consommation de lait et ceux qui en font en vendant des bouquins pour nous dissuader d'en consommer, on croit qui?
On devient statisticien et on passe sa journée à lire les études?
Aucun argument scientifique ne soutient la mise à l'index inconpréhensible que subissent actuellement le lait de vache et les produits laitiers (...) les pédiatres et les professionnels de l'enfance peuvent rassurer les familles sur l'innocuité du lait et des produits laitiers et combattre ainsi le déchainement médiatique croissant dont ces aliments sont injustement l'objet.
Kurganian a écrit:on ne peut pas s'attendre à ce que les mentalités changent avant plusieurs siècles...
AlainAl a écrit:Voila pour le premier post barbant de 2009 sur ce site
L’alimentation lactée est essentielle pour le nourrisson et
l’enfant de moins de 3 ans. Elle est idéalement fournie par le
lait de sa mère ou par des préparations adaptées (préparations
pour nourrissons et de suite, lait de croissance).
Malgré cette place essentielle occupée par le
lait de vache et les produits laitiers pour assurer l’apport
calcique, certains s’acharnent à les combattre
En attestent les observations de rachitisme et
de kwashiorkor chez des enfants recevant des substituts de
lait non enrichis en calcium et en vitamine D, et n’assurant
pas non plus les autres besoins nutritionnels
La variabilité de la minéralisation osseuse dépend avant
tout des facteurs génétiques qui rendraient compte de 50 Ã
80%de sa variance (Mc Guigan et al. in [11]).
Mais à côté de ces déterminants constitutionnels, interviennent des facteurs
environnementaux sur lesquels il est possible d’agir, comme
l’activité physique (Baxter-Jones et al. in [11]) et des facteurs
nutritionnels, au 1er rang desquels les apports de calcium, de
protéines et le statut vitaminique D.
L’impact positif de cette prise de lait résulte moins
d’une augmentation de la densité minérale osseuse de l’adulte
et de la femme après la ménopause, cet effet étant modeste et
controversé
Ainsi, 2 études récentes montrent
l’impact positif de l’apport de lait sur le diamètre et
l’épaisseur des os longs pendant la croissance et son influence
à long terme sur la santé osseuse des femmes après la
ménopause et des sujets âgés.
C’est parfois la crainte d’une prise de poids excessive qui amène
des adolescentes à supprimer les produits laitiers, alors que
leur consommation, a fortiori s’il s’agit de lait ou de produits
laitiers frais demi-écrémés, est associée à une réduction du
risque de surcharge pondérale [15].
Parmi ces facteurs figure l’introduction
précoce des protéines du lait de vache ; celle-ci pourrait
favoriser à long terme, du fait d’une similarité de structure
entre certaines protéines du lait bovin et certaines protéines
de la membrane des cellules-beta des îlots de Langerhans,
l’apparition d’une réaction auto-immune dirigée contre ces
cellules. Cette hypothèse a été appuyée par les résultats
d’études épidémiologiques scandinaves, mais reste l’objet de
discussions qui devraient être tranchées par les résultats
d’une grande étude internationale, randomisée, multicentrique
(TRIGR) dont les résultats seront disponibles en 2012.
17]. Le lien entre cancer de la prostate et prise de produits laitiers chez l’adulte semble
mieux argumenté, mais celui-ci n’est observé que pour des
apports élevés de lait ou produits laitiers, représentant plus
de 600 mg de calcium par jour en plus des apports non lactés
[20].
Retourner vers Diététique, santé et longévité
Utilisateurs parcourant ce forum: aucun utilisateur enregistré et 11 invités