Pendant que les autorités continuent de nous expliquer que les compléments alimentaires sont très dangereux, les laboratoires ne chôment pas et un laboratoire Français a développé depuis quelques années un analogue à la vitamine D dans le but de soigner certains cancers de la prostate.
La société présente aujourd'hui dans un congrès à Berlin les résultats d'une étude clinique de phase II(a) dans laquelle les résultats sont très prometteurs avec une diminution du PSA (un marqueur du cancer) d'au moins 50% chez 67% des patients, en moins de trois mois.
Leur analogue portent le nom de "inecalcitol", est présenté comme étant dix fois plus efficace et 100 fois moins toxique que la molécule originelle (le calcitriol ou vitamine D3 activée).
Voici un aperçu de la molécule originale et de l'analogue (dans cet ordre):


Il se fait dire que le laboratoire espère également utiliser ce produit dans le cadre d'autres maladies comme le psoriasis ou l'hyperparathyroïdie.
En attendant, plutôt que de tomber malade, pourquoi ne pas essayer la prévention?