Les vins conventionnels, soit la majorité de la production viticole, peuvent ainsi recourir à 47 additifs différents, tandis que les vins naturels, à l’autre bout du spectre, ne s’en autorisent éventuellement qu’un seul, à faible dose : le dioxyde de soufre (curieusement, c’est d’ailleurs le seul additif dont la présence doive être mentionnée sur l’étiquette). Entre les deux, les vins « bio » peuvent jongler avec 35 additifs.