Julien13 a écrit:P e davantage de précisions ici
?
Julien13 a écrit:Disons que ses travaux additionnés à ceux d'autres convergent vers le même sens et surtout sortent du bullshit actuel sur des sujets tels que l'index glycémique, les protéines, le jeune la keto les études sur des rats le sucre etc etc bref tout ceci auxquels beaucoup d'entre nous croyait auparavant.
Je ne sais pas vraiment si " the référence" existe, en tout cas croiser les sources m'emmène à penser que ce qui est dit va dans le bon sens.
Je trouve d'ailleurs que les écrits plus récents de Street convergent vers tout ça.
En gardant toujours en tête de se méfier des extrémistes de l'alimentation qui relie une méthode ou un groupe d'aliments de macros a la solution miracle.
Je mets souvent des articles d examine.com car c'est précis et condensé. Peu de personnes ici seraient motivés par 20 minutes de lecture souvent en anglais sur un sujet précis.
Il me semble que c'est Mat qui m'a fait découvrir ce site, grand merci a lui.
Julien13 a écrit:À titre personnel, qui suivais tu auparavant ?
Considérer que l’épidémiologie nutritionnelle est une science, c’est chercher à fabriquer des préservatifs après avoir demandé aux hommes quelle était la taille de leur pénis : on risque de se retrouver avec un stock de bâches pour la fusée Ariane.
Julien13 a écrit:
En faisant ça j'en ai surtout conclu ( en résumé) que :
- Le rapport "connaissance/temps" est pas très "élevé"
- Hormis les questions de base ( population, protocole, etc etc ) 99.5% des personnes y compris moi ne savons pas lire une étude de la manière la plus complète et correcte possible. Il y a d'ailleurs une formation et diplôme en lien avec.
- C'est rare d'avoir des études en full texte.
Donc que baser son temps sur ça est carrément inutile et "enferme" un peu la réflexion, ça nous apprend pas grand chose.
D'où l'utilité de certains sites (Mac Donald, Suppversity, Examine, Nutriting etc..)
Considérer que l’épidémiologie nutritionnelle est une science, c’est chercher à fabriquer des préservatifs après avoir demandé aux hommes quelle était la taille de leur pénis : on risque de se retrouver avec un stock de bâches pour la fusée Ariane
Julien13 a écrit:Bah non sinon tu aurais pas posté la source foireuse sur le jeûne ( humour hein !)
Tu lis quoi comme revue ?
Caricaturale mais réaliste.
Et on peut donc se demander quelle est la pertinence de ces études in vitro et sur animaux.
La pertinence des études épidémiologiques basées sur des questionnaires.
La pertinence des études non effectuées en chambre métabolique
Partant de ces constats on peut aller dans tous les sens
Julien13 a écrit:Donc que baser son temps sur ça est carrément inutile et "enferme" un peu la réflexion, ça nous apprend pas grand chose.
Samii a écrit:Le plus souvent je vais sur PubMed moi (mais faut souvent des codes d'accès pour la totalité). Après, c'est quand même plus pratique lorsque quelqu'un nous mâche le travail d'analyse et de synthèse !
Samii a écrit:Haha, l'étude n'était pas si foireuse (et très détaillée) ! Elle démontrait et listait d'autres études sur ses bienfaits sur la santé et les mécanismes responsables (c'est loin d'être la seule sur le sujet VS plusieurs pathologies) - avec variantes en fonction du type de jeûne bien cadré et de l'activité physique par exemple (pas forcément conseillé à toute la population comme je disais), et pour la perte de poids c'est même confirmé (bien que nuancé, comme toujours) dans la revue que Mat a posté par la suite (avec plusieurs panels de personnes dont certains abandons) :
Leur conclusion c'est que le jeûne intermittent (tel qu'appliqué via ces protocoles) n'est pas supérieur à la restriction calorique continue pour bon nombre de ses effets. Mais personne ne remet en question ses bienfaits, au contraire. Ils concluent que c'est une alternative viable à plusieurs "régimes" comme la restriction calorique continue pour la perte de poids et tous les autres effets positifs connus :
l'étude n'était pas si foireuse
Donc tu dis faire partie de la majorité des gens qui ne maitrisent pas forcément la lecture et la compréhension d'articles scientifiques mais t’arrives à remettre en question sans pression le résultat de recherches... C'est fort haha
99.5% des personnes y compris moi ne savons pas lire une étude de la manière la plus complète et correcte possible. Il y a d'ailleurs une formation et diplôme en lien avec.
Mais attention à ne pas tomber dans le piège que tu dénonces avec Carrio et son mode gourou avec tes références à toi en rejetant en bloc tout ce que untel n'a pas validé (humour aussi !)
Samii a écrit:Perso, j'essaye au contraire d'être ouvert à toute hypothèse et démonstration tout en restant critique
Samii a écrit:Comme je disais, les vérités scientifiques d'hier ne sont pas forcément celles de demain.
matclems a écrit:Epidémiologie nutritionnelle: en majorité c'est des observations, questionnaires, corrélation, expériences in vitro, in vivo (animaux),...
Ne pas oublier que des gens passent leurs vies à faire ça, ce n'est pas avec nos petites recherches sur Pubmed and co qu'on pourra, je pense, mieux comprendre le truc.
Samii a écrit:J'ai l'impression que tu tournes ça au combat de coq (voire dialogue de sourds), dommage.
C'est pourquoi j'ai évoqué mon entourage dont c'est justement le métier (sans me citer). Il ne s'agit pas non plus de recherches isolées comme tu as dû le lire dans mon précédent message (regroupement de plusieurs études). Ça m'a même pris du temps (trop!) pour les décortiquer (je t'ai résumé celle que Mat a partagé plus haut).
La conclusion apportée n'est justement pas ton propos de base puisque tu parlais d'aucun avantage par rapport à une "diète classique" (peut-être à définir?), malgré ma nuance sur le sujet (cf l'autre topic). Si tu partageais mon avis, mais que comme avec Fabrice, il y a malentendu, c'est peut-être ta façon de l'exprimer qui t'a fait défaut.
Il ne s'agissait pas de démontrer une supériorité du JI sur un déficit calorique continu mais bien son efficacité sur tel ou tel point. Chose qu'aucune des études postées ici n'a démonté. Sachant que j'ai toujours insisté sur la nuance.
Pour finir, car cela m'a déjà coûté trop de temps et d’énergie pour essayer d'apporter un peu de nuance et d'objectivité, dommage que nous n'ayons apparemment pas su saisir les propos de l'autre car nous sommes visiblement d'accord. Sans rancune.
Samii a écrit:Par contre, je ne comprends effectivement pas la nuance que tu essayes d'apporter sur ta "maîtrise de la lecture" des articles VS études puisque les articles retranscrivent les résultats d'études menées. Si tu parles des figures et autre contenu de la publication, c'est dans mes cordes; et je ne suis pas seul si besoin.
Samii a écrit:Rejeter en bloc un contenu (on parle de résultat de recherches, pas d'une vidéo youtube) car le nom d'un des scientifiques t'évoque du négatif (le mec peut être compétent et convaincu), manque à mon sens d'objectivité justement. Même un charlot nutritionniste à la JM Cohen peut te sortir un constat cohérent, en citant tel ou tel truc. Je voulais dire que mon apriori ne va me pousser à rejeter avant d'avoir analysé.
Je le répète ENCORE (cf mon premier post sur le sujet), tout est à prendre avec des pincettes. Je te disais donc de faire attention à ne pas tomber dans le piège genre "McDonald ou X a dit ça, alors je ne lierai même pas ce qui dit l'inverse"
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