Je réalise petit à petit avec le temps et l'expérience que mon régime pourtant nettoyé de toute sucrerie me pose encore des problèmes de glycémie ...
J'ai l'impression que mon corps s'est habitué au manque de sucreries et qu'il se contente désormais de glucides plutôt lents pour refoutre le même bordel qu'avant .
Non seulement je ne peux pas m'entrainer moins de trois heures après les repas, mais je réalise aujourd'hui que c'est pareil pour toute activité intellectuelle . Quand j'ai mangé des pâtes, mon Q.I. chute pendant au moins trois heures le temps de la digestion, j'ai le cerveau qui dort... impossible de me concentrer sur quoi que ce soit même une activité très appréciée . Pareil pour le physique, performances minables le temps de la digestion.
Et tout à coup à la fin de la digestion quand on croit que le calvaire se termine, envie de dormir, baillements à n'en plus finir, Q.I. et énergie détruits pendant disons en gros une heure, un vrai légume . C'est seulement après cela que l'énergie psychologique réapparait et m'autorise à reprendre du plaisir à faire ce qui me plait.
:arrow: Peut-être que le goût que j'ai toujours eu (depuis tout petit) pour le grignotage continu tout au long de la journée, ou à l'opposé carrément le jeûn complet pendant une journée voire plus, doit venir du fait que ma glycémie est toujours en bordel à cause des repas: donc repas continu ou pas de repas me semble désormais un réflexe naturel.
Bon maintenant comme j'ai réduit le nombre de séries, je bosse 33% de moins qu'avant, il faut que je réduise aussi mon alimentation, d'autant que la pression bidale augmentait déjà avec 3 séries, donc l'alimentation était déjà trop riche. Je sens que je vais virer les pâtes, qui représentent 900 calories sur 2400 et causent le bordel psychologique, comme ça je ferais d'une pierre deux coups, moins bidebuilder et plus zenbuilder.