selon nous cela tient a la conjugaison de 5 facteurs. Si l'un tient a manquer à manquer , le HIT ne produira pas els effets escomptés et il faudra mieux essayer de jouer sur le volume que sur l'intensité .
Nos mollets pourraient progresser avec n'importe quelle technisue d'entrainement alors pk choisir le HIT? tout simplement parce qu'en faisant ainsi leur entrainement est terminé en moins 5 minutes ce qui laisse du temps pour les autres groupes moins favorisés. Le premier facteur est donc d'ordre génétique .
Le second facteur tient a l'exercice lui meme. Il existe de tres bonnes machines genre chameau permettant que l'entrainement des mollets s'effectue sans interference negative. Ce n'est pas le cas au DC par exemple . des triceps faibles rendront peu utiles une serie intense de DC pour les pecs. Le manque de souffle et l'inconfort que le SQT procure ne permettent pas d'aller vraiment a fond dans la stimulation des quadriceps. A la presse a mollet on peut respirer on n'a pas le dos ecrasé et aucun autre muscle ne vient parasiter le mouvement . Ce facteur ne se limite pas forcement aux mollets. Un culturiste ayant de bon levier peut tout prendre sur les pecs au DC et pourra potentiellement bénéficier de ce type d'entrainement . Il faut donc une adequation aussi parfaite que possible entre l'exercice et la morphologie du sujet.
Troisieme facteur : l'innervation nerveuse du muscle . Certains de nos muscles encaissent tres bien une charge lourde , d'autre pas. Un muscle bien innervé pourra tirer encore plusieurs reps alors que l'on pourrait le croire a bout . Au contraire il y a des muscles qui nous lachent d'un coup sans prevenir , alors qu'on aurait pu croire qu'ils avaient encore un peu de reserve. Dans ce dernier cas l'entrainement intense est impossible .
Quatrieme facteur : l'endurance. La capacité du muscle a resynthetiser de l' ATP doit etre grande afin d'atteindre un "thorough inroad" maximum en fin de série. La seule facon d'atteindre un vrai "thorough inroad" est d'effectuer une série degressive. Bien souvent, apres une serie normale on sent que le muscle pourrait encore faire qq chose et que le manque d'energie nous en empeche. C'est un facteur limitant de l'efficacité du HIT. Un muscle repondant bien au HIT est non seulement tres fort mais aussi tres endurant, afin de continuer à se contracter avec force lors de défressions successives.
Le dernier facteur est de posséder une structuture musculo tendineuse a toute epreuve. Lorsque le muscle ne peut plus se contracter de maniere volontaire, on doit le forcer a se contracter de maniere involontaire en jouant sur le reflexe myotatique. En etirant brusquement un muscle cela va lui faire peur et il va se contracter en réaction. c'est un peu sur quoi s'appuie la methode dite burns que l'on utilise en fin de série. ce n'est que lorsque le muscle ne peut plus se contracter de maniere involontaire que l'on sais que la stimulation intense a été suffisante et qu'une autre série n'est pas utile. Il est pourant rare de pouvoir bien utiliser cette technique car une petite faiblesse, en particulier au niveau du tendon, provoque immanquablement une blessure. Si ces 5 facteurs ne sont pas réunis, la seule facon de tenter de els compenser est d'augmenter le volume, ce qui n'est pourtant malheureusement pas une garantie de succes
ps : c'est michale gundill membre de 'lacademie des sciences de new york et florence ghibellini qui ont ecrits cet artcile !