in postmenopausal women
Sebastien a écrit:Les médecins ont très peu de nutrition dans leur cursus et s'ils n'en font pas une spécialité et si cela ne devient pas une passion, ils se limiteront à ce qu'ils auront appris.
La médecine telle qu'elle est enseignée mais l'accent sur l'apprentissage des pathologies et des soins qui y sont liés. La prévention par la nutrition, c'est un autre métier
Amaury a écrit:Et il est clair que le médecin en temps que supposé expert "surjoue" souvent - dans le but d'impressionner sa patientèle - et agit souvent comme si il maitrisait parfaiatement tous les sujets, ce qui n'est bien sur pas le cas
Jimmy a écrit:Comment se fait-il qu'un médecin puisse se passer de solides notions de nutrition ?
Jimmy a écrit: quels sont les causes, les comportements à risques qu'ils faut "soigner" ?
Pourquoi différencie t-on le HDL et LDL en "bon" et "mauvais" cholestérol ?
Alban a écrit:in postmenopausal women
Pour moi, c'est sujet à discussion.
Chez les femmes ménopausées il y a tellement de choses qui ne fonctionnent pas comme chez les autres à causes de leurs hormones...
Bruno Spagnoli a écrit:Essentiellement :
- la sous-nutrition en terme de micronutriments...
- l'apport excessif de glucides.
- et aussi bien sûr l'exposition aux toxiques, le stress, etc.
Amaury a écrit:Les médecins ne sont PAS des charlatans, mais tout comme nous ils évoluent dans un milieu plein de bruit ou il est parfois difficile de trier les informations sans faire un travail personnel important auquel il n'ont parfois ni le temps ni l'envie de se consacrer.
Bruno Spagnoli a écrit:Et puis dans ce cas, pourquoi alors n'émet-on pas de recommandations spéciales pour les femmes ménopausées ? (du genre : vous, vous devez bouffer plein de gras et surtout il faut qu'il soit saturé, par contre pour tous les autres c'est tout le contraire... ça parait difficile à croire quand même...)
Jimmy a écrit:Bruno Spagnoli a écrit:Essentiellement :
- la sous-nutrition en terme de micronutriments...
- l'apport excessif de glucides.
- et aussi bien sûr l'exposition aux toxiques, le stress, etc.
C'est ton lite-motiv en ce moment
Donc il n'y aurait quasiment pas de mauvaises graisses,
par contre quelle qu'en soit la nature les glucides seraient nocifs dès qu'on en cosomme plus que le stric nécéssaire ? Comment quantifierais-tu ce srict nécéssaire ?
Alban a écrit:Plasma, on est quand même en droit d'attendre des médecins (inutile que je rappelle leur formation, avec la purge après la première année, etc, etc...) qu'ils fassent preuvent d'un peu d'esprit critique et d'analyse. S'ils ne sont pas capables de filtrer le signal du bruit, à quoi bon.... autant mettre en vente libre tous les possibles, Mme Chombier est tout autant capable de faire une ordonnance à ce moment là .
Bruno Spagnoli a écrit:Il n'y a pas de strict nécessaire en matière de glucide, puisque c'est le seul macronutriment non essentiel pour l'homme.
Maintenant si on se base sur les données anthropologiques des populations de chasseurs-cueilleurs (paléo mais aussi plus récents), on a en moyenne dans les 30% de glucides, mais ça varie de 0% à peut-être 40% dans quelques rares cas.
Pour ma part, "apport excessif" correspond à l'apport actuellement conseillé, c'est à dire dans les 55-60%... il n'y a qu'à voir le résultat en terme de santé publique depuis que cette "pyramide nutritionnelle" a été martelée dans la tête des gens...
Eponge a écrit:Moi je pense aux AHN qui se tapent deux dizaines d'heures d'entrainement par semaine (vélos, demi fond, fond, ...). Bien sûr qu'ils doivent manger des glucides en quantité.
Attends, penses-tu que les hommes du paléolithique avaient une activité physique négligeable ? Pourtant, ils s'en sortaient très bien avec un apport modéré de glucides.
Pour tout ce qui est sport mettant en jeu la filière aérobie, un apport modéré de glucides me semble non seulement possible mais tout à fait recommandable. Le glycogène est surtout un carburant des efforts brefs et intenses, c'est pourquoi les réserves sont limitées.
Un athlète d'endurance a tout intérêt à avoir un métabolisme optimisé pour l'oxydation des graisses, et pour cela des apports importants de glucides sont la pire chose à faire...
De toute manière, ma position "low-carb" concerne surtout l'optimisation de l'état de santé, pas l'optimisation sportive ! (même si ce n'est pas forcément contradictoire)
Bruno Spagnoli a écrit:Attends, penses-tu que les hommes du paléolithique avaient une activité physique négligeable ? Pourtant, ils s'en sortaient très bien avec un apport modéré de glucides.
Eponge a écrit:
Le glycogène pour les efforts brefs et intenses? A 85% de la VO2 Max c'est 50% au début de l'effort et encore 30% au bout de 2h.
Herve Picard a écrit:85 pc pendant deux heures ce n est pas donne à tout le monde meme avec de l entrainement .
Robby1 a écrit:D'un point de vue sportif, ce serait se voiler la face que de dire que l'utilisation des glucides pour la production d'efforts ne soit pas la filière la plus performante
Robby1 a écrit:les plus aptes à apprendre des catalogues qui seront oubliés 48 heures après, c'est à dire les filles
J ai mis 1h16 au semi [...]
mais je n etais pas tres endurant
Claude L. a écrit:1) En tous cas, ce que j'ai constaté, c'est que les gens malades on un taux élévé de cholestérol.
2) En supposant que ce n'est pas le cholestérol qui bouche les artères, a-ton actuellement une idée de ce qui fait que quelqu'un qui a un fort risque d'athérosclérose a en général (toujours ?) un taux de cholestérol élevé ?
Le lien entre hypercholestérolémie et maladies par athérosclérose est particulièrement bien établi, essentiellement pour les pathologies coronariennes. L'élévation du Cholestérol Total et du LDL-Cholestérol (qui représente la forme principale de transport du cholestérol dans l'organisme) est associée à une augmentation du risque coronarien de façon curvi-linéaire et a été retrouvée de façon très concordante entre les différentes études épidémiologiques inter et intra-population. Dans l'étude MRFIT (USA), menée chez des hommes < 57 ans suivis pendant 6 ans, le risque coronarien était multiplié par 2 lorsque le cholestérol total passait de 2 à 2,5 g/l et par 3 entre 2 et 3 g/l. Il ne semble pas exister de seuil à partir duquel le risque coronarien apparaîtrait. La relation est toutefois très atténuée chez les femmes (en raison du poids important que joue le HDL-Cholestérol : cf.) et les sujets âgés de plus de 65 ans.
Les études d'observation mettant en évidence l'effet délétère des acides gras saturés et du cholestérol alimentaire sont nombreuses et comprennent par exemple l'étude des 7 pays (Keys, 1970), la Western Electric Study (Shekelle et al., 1981), l'étude de cohortes de patients d'Irlande et de Boston (Kushi et al., 1985), l'étude des infirmières (Hu et al., 1997). Tous les résultats montrent de façon concordante une relation entre la quantité de cholestérol alimentaire et d'acides gras saturés et le risque cardio-vasculaire.
Tous les acides gras saturés n’ont pas le même effet sur le cholestérol LDL : les acides laurique, myristique et palmitique sont les plus hypercholestérolémiants, tandis que l’acide stéarique n’a pas d’effet hypercholestérolémiant lorsque l’apport en cholestérol alimentaire est faible.
Une analyse de 395 études sur 121 populations différentes montre que le remplacement isocalorique de graisses saturées par des glucides (correspondant à 10% des apports quotidiens) diminue la cholestérolémie de 0,52 mmol/l et du LDL de 0,36 mmol/l.
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