Jm O a écrit:J'ai précisé "Tant qu'on reste sur des produits alimentaires de base peu raffinés, ...."
et c'est là la clef je pense.
Jm O a écrit:donc en fait, tu te forces à bouffer ?
et ça continuellement ?
ça doit être usant ?
Herve Picard a écrit:parce que je mange beaucoup plus que ce que ma fait me laisse faire.
C est dément mais je pourrais faire 8/10 kgs de moins si je mangeais à ma faim.
Jm O a écrit:Et ce n'est pas la raison qui me fait lever la nuit pour assurer mon quota calorique. Je ne me rendors pas si je ne mange pas .. l'idée me trote dans la tête.
Fold a écrit:JC: tu confonds la faim et l'envie de manger énorme différence.
L'hyperphagie nocturne: Albert Stunkard, un psychiatre américain, décrit en 1955, sous le nom de "Night eating syndrome", un comportement consistant en un besoin impérieux de manger au cours de la nuit. L'individu se réveille régulièrement au milieu de la nuit et ne peut se rendormir qu’après avoir absorbé une copieuse collation, souvent ingurgitée dans un demi-sommeil. Le lendemain matin, il ne lui reste que des souvenirs imprécis de ce qu’il aura consommé durant l’épisode nocturne.
Il n'est pas rare que la personne souffre aussi de troubles du sommeil: somnambulisme, apnée obstructive du sommeil.
On peut comprendre cette conduite comme un abandon du contrôle favorisé par le relâchement nocturne. Toute la journée, l'individu contrôle son comportement alimentaire; ce contrôle se trouve mis en échec durant la nuit.
On a aussi noté divers troubles neuroendocriniens associés à l'hyperphagie nocturne, qui sont autant de voies de recherches: élévation amoindrie du taux de leptine nocturne et de mélatonine, augmentation du cortisol plasmatique.
La chocolatomanie: ( ) Les chocolatomanes sont volontiers sportifs, actifs ou hyperactifs, sociables, et auraient tendance à intérioriser les conflits. Ils consomment du chocolat dans les situations de stress ou de conflit interne. On a invoqué différents modèles biochimiques pour expliquer cette appétence: effet du sucre sur le taux de sérotonine cérébrale, la phényléthylamine, précurseur de cette même sérotonine, les effets bienfaisants du magnésium, tous présents dans le chocolat. Ces différentes théories n'ayant pas pu être vérifiées, on en revient à l'idée que c'est le plaisir sensoriel intense engendré par le chocolat qui est à l'origine de son ingestion en grande quantité.
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