entièrement d'accord avec toi gromit: la casse n'est pas la seule nécessité (sinon il suffirait de casser 3 fibres indéfiniment avec des charges moyennes pour avoir un SP
=)
l'entrainement provoque des changements de types de protéines (myosines and co).
Néanmoins, en oubliant le dopage (je pense que cela bouleverse tellement la chimie corporelle que le corps ne suit plus la nature - je me trompe peut-être, mais pour l'instant je suis bloqué là dessus).
La progression est bien une réunion d'une multitude de facteur (souplesse, tension de base, coordination, alimentation, technique de training, etc).
Mais en dissociant les différentes composantes (il faut bien, à un moment donné de la programmation sportive, dissociée les composantes de la performance pour travailler chacune indépendamment, puis certaines entre elles; même si l'on ne peut totalement dégager les autres composantes, c'est un tout).
Ainsi, à un moment donné, même si le SN participe (c'est bine sa fonction de provoquer les contractions musculaires), nus travaillons à consonance énergétiques (basse, moyenne ou lente selon les filières), coordination intra-extra musculaire, vascularisation (amélioration de la récupération), souplesse active (augmentation du relâchement par ex), etc. Il y a une infinité de composante (donc des progrès indéfinis à avoir
).
Lorsque nous travaillons les filières moyennes ou moyennes longues (jusque l'échec pour l'exemple ici, mais ce n'est pas une obligation).
Prenons l'exemple de l'entraînement de base du 400m: le travail de volume (séries de 300-400m 12 à 20 fois dans la séance). Nous travaillons bien le vidage 'plus ou moins partiel des réserves et en même temps l'optimisation de la récupération pour poursuivre l'entraînement).
En reproduisant cela en musculation (et l'échec est une des techniques, même si ce n'est pas la meilleure, mai selle existe), nous pouvons abaisser le taux de nutriments, composants, etc. dans le muscle. nous permettons ainsi une régénération plus importante par la suite.
J'ajouterai, puisque le sujet dévie vers l'hypertrophie, qu'avec le "vidage" des composites, on arrive à une pseudo tétanie c'est à dire que les têtes de myosine reste accrochés à l'actine et un étirement casse un peu cela et favorise le renforcement de ces dernières.
Maintenant, c'est vrai, le SN est une composante primordiale de l'athlète puisque sans lui pas de contraction, pas de relâchement, de coordination, etc. et que sa récupération est plus longue (bcp) que les autres composantes de l'entraînement.
Et je viens de me rendre compte d'une connerie que j'ai dite (merci
) non pas par erreur de ma part, mais par méconnaissance: le besoin de plus de récup en échec (risque de surentraînement, de régression) vient donc du SN puisque c'est lui qui met le plus de temps à récupérer.
Pour réponse à Isei38: des séries plus longues ne provoquent pas plus de contractions musculaires, mais plus de temps de contraction musculaire (un nombre de contraction musculaire serait plutôt du à un nombre plus important de fibres travailler et cela, c'est la charge qui le défini)
Gromit, si j'ouvre un poste sur ta remarque suivante, on peut échanger, c'est intéressant comme idée:
En fait il y a de plus en plus d'évidences qui indiquent que l'hypertrophie peut survenir sans dommages! (mais c'est un peu tôt pour être complètement affirmatif)