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Bonjour. Je suis en train de retenter du couché en amplitude complète. Idem pour le militaire. Je douille pas mal sur les épaules. Si j'écris la nuit c'est un peu aussi grâce à ça. Je me met les épaules dans un angle de cinglé avec le couché à la poitrine et il faut dire aussi que j'ai eu mal à une épaule de façon chronique pensant des années avant de me mettre au partiel. Et au militaire j'ai limite une sensation de "déboîtement" quand je passe du bas au menton.
Ou alors il y a un autre truc sur j'ai loupé ?

La technique que j'avais adopté jusqu'ici c'était couché barre au milieu de la poitrine (au lieu de partir du bas) et arrêt quand je commençais à sentir trop d'étirement.

Déjà a la base le développer militaire est un exercices qui a tendance a bousiller!! Encore plus si tu le fait a la barre par rapport au haltères, et au développer coucher as tu la mobilité suffisante pour toucher tes pecs barre a vide?? On va commencer par ça comme question parce qu'il y en as un tas d'autres après

C'est précisément ce que je me demande.
Je faisais du développés aux haltères uniquement, et dans ce cas je mettais le banc un peu incliné et je "calais" bien les haltères dans l'axe allant plus ou moins verticalement, pas en les descendant vers l'avant (je me demande si je pourrais pas passer au Développé Arnold) pour ne pas trop sentir l'articulation.
Mais je finis par revenir aux arguments des défenseurs du DM (exercice de base, irremplaçable, etc).

Pour ce qui est du couché, comme je l'ai déjà dit, j'avais cessé la version à la poitrine quand j'ai visualisé ce que ça donnait avec un manche à balais devant une glace : ce n'est plus un exercice de musculation mais d'étirement, chez moi. C'est hallucinant.

Et je me suis réveillé la nuit avec des épaules vraiment en vrac.
Ce matin, en prime, j'avais la zone lombaire qui n'allait pas bien du tout.

Je soupçonne dans les deux cas le DM.

Maintenant, il faut avouer que je trouve étonnant le peu de force que j'ai en développé avant par rapport au nuque (que je ne fais plus, bien sûr) et au développé haltères (périlleux tout seul dans son garage mais un peu mieux encaissé).
Une autre solution : développés partiels, limite en stop and go sur les barres de sécurité.

Avant toute chose: Ne jamais forcez une amplitude!!JAMAIS
Démarrer le développer coucher en position basse est assez exigent pour les épaules et le développer Arnold les aussi par rapport au DM
Donc développer coucher partiel en attendant de travailler bien ta mobilité

Bon ! C'est pas non plus comme si je n'avais pas fait dix-quinze ans en DC complet avant ça. Mais ensuite je suis passé au machine, puis au partiel. J'essayais d'entretenir la mobilité avec des écartés lourds, sans exagérer l'amplitude pour autant.

Maintenant, bon! dans ma période "complet" j'ai tout de même eu des douleurs chroniques, même quand j'arrêtais la musculation (alors ça c'est le mystère : mes douleurs ont disparues avec le partiel alors qu'elles ne partaient pas avec le repos).

Entretenir ta mobilité au écarter lourd
Façon il y a pas de mystère si tu l'entretien pas et en vieillissant + peux être une mauvaise posture + une surcompensation, ect tu va devenir de moins en moins mobile et ce qu'il te poser pas de probléme avant peux le devenir d'où les 10/15 ans de couché en pleine amplitude sans trop de soucis
Certain type de tendinite demande de "s'entrainer" dessus, peux être que c'est du a ça les douleur chronique qui disparaissais à l’entrainement et non au repos même si ça me parait bizarre

Non, c'est le contraire : 10-15 ans de couché AVEC des soucis.
Et la tendinite c'était à l'entraînement et elle subsistait en arrêtant l'entraînement.

Par contre, depuis le partiel, plus de soucis.

Maintenant, c'est étrange parfois. Je devais faire attention à mes genoux aux squats et dès que je passais une certaine amplitude je tendais à avoir mal, et depuis quelques temps je peux prendre plus lourd et descendre TRES progressivement plus bas et je n'ai pas du tout de douleurs aux genoux. Comme s'il y avait eu quelque chose qui était passé. Mais les genoux, c'est pas les épaules.

Pourquoi avoir continuer Je sais que c'est l'exercice roi mais bon

Parce qu'à l'époque (dans les années 80-90) on ne se posait pas la question. C'était couché ou ...couché. Les seules machines qu'on avait c'était du cadre guidé d'un bloc, et encore, pas dans toutes les salles.
Et franchement, c'était pourri. La première fois que j'ai vu une machine assis (façon "bâton de ski) ça devait être vers 93-95.

Bah je me doutais déjà bien de ta réponse, vu ton temps de pratique et de ce qu'on savais à ce temps là et le matos disponible
Avant on chipoter pas autant que maintenant

Ca et le fait que si tu t'entraînais moins de deux fois par semaine chaque groupe musculaire, tu pouvais de planquer parce que t'étais classé dans les touristes.

Les connaissances ont bien évoluer depuis, si on est pas trop con on profite des expérience positif et négative des anciens
Le problèmes c'est que la conneries se repend plus vite et mieux que la "vérité" surtout sur le net!!
Il n'y a rien qu'à voir les chaines youtube axés musculation: on as le choix entre des arnaqueurs qui sont conscient qu'il racontes que des conneries, des dopées qui s'affirme naturel, des dopées qui croient que leur entrainement 7jours sur 7, 2h30 par jours à font les gamelles peuvent très bien s'appliquer aux naturels , des mecs qui font leur buzz, et puis d'autres avec leur entrainement loufoque pour ce faire démarquer des autres
Certain sont dangereux avec leur conseil à deux balles

Le développé militaire à la barre en amplitude complète, selon sa morphologie, demande une certaine souplesse et n'est pas un mouvement anodin.

Sur le Club SP, j'ai vu une "performance" où le dos n'est pas rigide et les fesses balancent.

En lieu et place, il vaut mieux faire du développé avec haltères assis, éventuellement avec un dossier et une amplitude restreinte (ne pas descendre le bras trop en-dessous de la //).

D'une manière générale, il ne faut pas devenir un fou de l'amplitude complète, sous prétexte que ce serait mieux, car c'est loin d'être toujours le cas, spécialement avec une morphologie longiligne.