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rien compris

Je trouve qu'admirer un dopé n'a rien à voir avec le fait de soi-même vouloir passer au dopage.

On a presque tous commencé la muscu en admirant les dopés du ciné ou des magasines. Dans la mesure où les dopés sont mis en avant c'est difficile de faire autrement.

Ceux qu'ont vraiment envie de passer pro en acceptant tous les sacrifices que ça demande, le dopage se comprend, c'est le seul moyen d'y arriver. Par contre pour ceux qui veulent juste se doper pour "ressembler" à des pro, pour se sentir mieux, c'est plus triste.

C'est pas parce que y en a qui roule en Ferrari qu'on est obligé de soi-même vouloir tout sacrifier pour s'en payer une. On peut aller voir des courses ou tourner autour quand on en voit une de garé et être heureux comme ça. Tout en conduisant une kangoo.
Après y a ceux qu'ont pas les moyens de se payer une ferrari et qui se prennent une pseudo voiture de sport rouge. "qui voudrait avoir l'air mais qu'ont pas l'air du tout"
La différence c'est qu'on peut essayer une voiture de sport sans la posséder. C'est malheureusement pas pareil avec un corps de pro dopé. J'ai l'impression que beaucoup de ceux qui rêvent de devenir Coleman ou Ruhl passeraient vite à autre chose s'ils pouvaient essayer leur corps quelques jours.

J'aime bien Levrone ou quelques autres pro des années 80 mais pourtant le dopage c'est vraiment le truc pas envisageable, même pas en rêve.
Et c'est pas une question de risque pour la santé, il y aurait pas de risque ce serait pareil. Si un jour je suis plus capable de savoir dans quelle mesure je dois mon physique ou mes perfs à moi-même ou aux produits ça sert plus à rien de s'entraîner.

Tu pousses 200 kg au couché et c'est comme s'il y avait quelqu'un d'invisible derrière toi qui t'aidait à monter la barre. Y a pas d'intéret c'est pas amusant. Pour être content avec ça il faut éviter de regarder la vérité en face, se mentir à soi-même. On se dit que les autres potes chargés font pareil, ou carrément que le dopage n'a pas apporté tant que ça et qu'on aurait sans doute fini par faire pareil au naturel.
En plus si le dopage fonctionne mal sur soi et qu'on se retrouve seulement avec un bon physique de naturel on a pas l'air con.

Si un jour je suis plus capable de savoir dans quelle mesure je dois mon physique ou mes perfs à moi-même ou aux produits ça sert plus à rien de s'entraîner

c'est ce que je pense aussi

Franck B. a écrit: J'ai l'impression que beaucoup de ceux qui rêvent de devenir Coleman ou Ruhl passeraient vite à autre chose s'ils pouvaient essayer leur corps quelques jours.

+1

Franck B. a écrit:En plus si le dopage fonctionne mal sur soi et qu'on se retrouve seulement avec un bon physique de naturel on a pas l'air con.

Ou pire, ça :

A fond dans Propre et Franck

Fabien.s a écrit:Entre penser un truc, et passer à l'acte, ya un monde......méme Raph et Propre vous qui ditent" jamais de dope" peut-étre que vous vous doperai dans quelques années, peut-étre que moi je ne ferais plus de muscu et que je saurais un gros tas de gras avec zero muscles.... on peut pas savoir notre futur, il ya plusieurs vies dans une vie

je vais gagner au loto, me payer une fille russe, acheter une maison dans le sud, acheter oxygen et vous faire gratuit l'abonnement

Tu offres des jolies Russes avec l'abonnement ?

Koston a écrit:

Fabien.s a écrit:Entre penser un truc, et passer à l'acte, ya un monde......méme Raph et Propre vous qui ditent" jamais de dope" peut-étre que vous vous doperai dans quelques années, peut-étre que moi je ne ferais plus de muscu et que je saurais un gros tas de gras avec zero muscles.... on peut pas savoir notre futur, il ya plusieurs vies dans une vie

je vais gagner au loto, me payer une fille russe, acheter une maison dans le sud, acheter oxygen et vous faire gratuit l'abonnement

Le pro des filles russes c'est moi

Alban a écrit:

Ori a écrit:Si ca tombe t'as un naturel qui arriverai premier si il ce dopait.
C'est peut-être les 2.

En sport de haut niveau les gars ont déjà un super potentiel à la base.
La dope ça leur permet de la pousser encore plus loin. Entre deux pros doués génétiquement et qui se dopent, peut-être que la dope peut inverser les positions, c'est possible. Mais entre un individu moyennement doué dopé ou non et un pro non dopé, je pense que je pro gagnera de toute façon.
En bodybuilding, c'est peut-être différent. Mais d'après ce que j'ai pu lire, la plupart des pro de niveau Olympia ne se chargeraient pas autant que certains amateurs compétiteurs au niveau régional US.

En bodybuilding toujours, je pense qu'un gars moyen qui commence à se doper peut surpasser un naturel qui s'entraîne depuis des années. Y'à qu'à voir le physique qu'avait TDG par exemple... en quelques années seulement. Mais bon, il n'en n'a pas profité bien longtemps.

Il faudrait savoir ce qu'ils prennent et ce que ca leur apporte.

Ils parlaient de 5 à 20% des performances en + avec de l'EPO.

20% en + même sur un type moyen ca fait une sacré différence.
Maintenant si c'est plus vers les 5% là ok, le type avec une super génétique et entrainement sait battre le dopé moyen.

Mais, si ca ce joue dans un mouchoir de poche, les 5% en + ca fait la différence.

Que faut-il faire ?

Arrêter tous les dopés et passer de 4h pour une étape à 5/6h ?
Fermer les yeux et voir des sportifs ruiner leur vie pour une perf ?

C'est bien casse tête et délicat.

Ori a écrit:

Alban a écrit:

Ori a écrit:Si ca tombe t'as un naturel qui arriverai premier si il ce dopait.
C'est peut-être les 2.

En sport de haut niveau les gars ont déjà un super potentiel à la base.
La dope ça leur permet de la pousser encore plus loin. Entre deux pros doués génétiquement et qui se dopent, peut-être que la dope peut inverser les positions, c'est possible. Mais entre un individu moyennement doué dopé ou non et un pro non dopé, je pense que je pro gagnera de toute façon.
En bodybuilding, c'est peut-être différent. Mais d'après ce que j'ai pu lire, la plupart des pro de niveau Olympia ne se chargeraient pas autant que certains amateurs compétiteurs au niveau régional US.

En bodybuilding toujours, je pense qu'un gars moyen qui commence à se doper peut surpasser un naturel qui s'entraîne depuis des années. Y'à qu'à voir le physique qu'avait TDG par exemple... en quelques années seulement. Mais bon, il n'en n'a pas profité bien longtemps.

Il faudrait savoir ce qu'ils prennent et ce que ca leur apporte.

Ils parlaient de 5 à 20% des performances en + avec de l'EPO.

20% en + même sur un type moyen ca fait une sacré différence.
Maintenant si c'est plus vers les 5% là ok, le type avec une super génétique et entrainement sait battre le dopé moyen.

Mais, si ca ce joue dans un mouchoir de poche, les 5% en + ca fait la différence.

Que faut-il faire ?

Arrêter tous les dopés et passer de 4h pour une étape à 5/6h ?
Fermer les yeux et voir des sportifs ruiner leur vie pour une perf ?

C'est bien casse tête et délicat.

L 'epo ca doit plutot faire augmenter les perfs de 20 pc que de 5 pcents
je suis pari m entrainer 1 miserable semaine en altitude à 1600 m en vélo .
mon hématocrite est passé ds ce temps de 47 à 52.
mes perfs en cote ont augmenté de 10 pc sur une cote que je prenais régulierement en vélo.
Si je m etais entrainé au niveau de la mer et si j avais dormi à 3000 m cela aurait été encore mieux.j avais l impression de m envoler ds les cotes tous ceux qui s entrainaient avec moi d habitude n ont rien compris. il y en avait meme un que je n arrivais pas à suivre (15 ans de moins que moi) auquel je me suis accroché et qui n a pas pu me lacher.
Avec l EPO tu peux monter à plus de 60 d hematocrite. je vous laisse imaginer le gain de perfs possible !!

qui voudrait avoir l'air mais qu'ont pas l'air du tout

c'est "qui aimeraient" si mes souvenirs sont bons

Pour le tour de france : faut réduire les distances. 200km en 4h, en plein cagnard avec des côtes hors-caté, c'est le passage vers à la dope si tu veux survivre. Des épreuves de 100km ce serait plus cool

Y'a 1 Journaliste qui fait le tour de france 1 jour avt les pros, son aventure est raconté ds le monde chaque jour. Il s'en sort très bien.






Ca n'a rien de difficile de faire 200km en vélo. Les étapes étaient d'ailleurs plus durs y'a 1 siècle.

Ce qui est fou c'est de monter des cols à 30km/h ou bien de gagner 1 contre la montre d'une heure à une vitesse de 54km/h.

La clé de la réussite : une bonne préparation
LEMONDE.FR | 28.07.07 | 19h33 • Mis à jour le 28.07.07 | 19h33

Florian Lecamp, interne des hôpitaux de Toulouse, a suivi Guillaume Prébois durant ses trois semaines sur "l'Autre Tour".

Durant ces 3 semaines, j'ai suivi Guillaume Prébois dans son défi de réaliser le Tour de France dans son intégralité, un jour avant les professionnels. J'ai passé vingt-et-un jours à ses côtés, à l'observer à chaque heure de la journée, du réveil jusqu'au couché. Je l'ai étudié sur tous les plans : clinique, physiologique, biologique, nutritionnel et psychologique.

Lorsque Guillaume a commencé le Tour, il avait 12 000 kilomètres d'entraînement dans les jambes depuis le mois de janvier, un poids de 71,5 kg, 14 % de masse grasse, un mental en acier. En bref, dans le jargon des sportifs, il était très affûté.

La première semaine du Tour a été celle de l'adaptation : les mécanismes physiologiques de Guillaume essayaient de trouver leur équilibre dans ces 6 à 9 heures d'efforts quotidiens, sans compter son travail de journaliste qui l'attendait à chaque fin d'étape. Initialement il avait connu de nombreux désordres digestifs liés à un apport alimentaire gargantuesque riche en glucides, mais indispensable, et une moyenne de 8 litres de boisson par jour.


Au fur et à mesure des journées, ces soucis se sont atténués. Durant la deuxième semaine, il a été victime du soleil et de ses brûlures. La troisième semaine, elle, a été marquée par un début de tendinite des tendons rotuliens liée à une position en danseuse excessive et une hyper sollicitation musculaire en montagne, surtout durant la dernière étape des Pyrénées d'une durée de 9h10. Heureusement, le retour des étapes de plaine, dans les derniers jours de son Tour, lui ont permis d'adopter une position un peu plus antalgique sur son vélo.

Un des paramètres intéressants de ce Tour concernait sa fréquence cardiaque: au début, elle était plus élevée que d'habitude au repos, mais au bout d'une semaine elle est revenue à son rythme de 53 battements par minute. Par contre, durant les étapes, sa fréquence cardiaque moyenne d'effort a progressivement diminué de 10% environ, une baisse normale sur ce type de course à étapes.

Le taux d'hématocrite de Guillaume a d'abord baissé: de 42%, il est passé à 38%. Une diminution normale: notre cycliste a développé au niveau sanguin un secteur plasmatique plus important, plus clairement il s'agit donc d'une « dilution » physiologique de ses globules rouges. Cependant, depuis la deuxième journée de repos à Pau, son taux d'hématocrite a augmenté: il est monté à 44 % le lendemain et est revenu à 42 % à la fin du parcours, soit le niveau initial. Cette augmentation est le signe que Guillaume récupère bien et qu'il est un sportif très entraîné, car ce genre d'évolution ne se voit pas ailleurs.

Avant de s'élancer sur les routes du Tour, plusieurs personnes lui prédisaient à son arrivée une allure cadavérique, une asthénie physique et psychique. Au risque de les décevoir, Guillaume est arrivé sur les Champs-Elysées avec une masse corporelle et un pourcentage de masse grasse stables sur toute la durée du parcours et un moral identique au départ. Pourquoi ? Tout simplement parce que Guillaume s'est préparé : entraînement, musculation et une hygiène de vie irréprochable. A-t-il souffert sur ce Tour ? Oui, mais il a autant souffert, voire plus, pendant ses longues heures d'entraînement. La clé de la réussite : une bonne préparation.


Alors, peut on faire le Tour à l'eau claire ? Vous connaissez la réponse.

tout à fait. C'est pour ca que je parlais de 200km en 4h pour les pharmacies roulantes.

Plus la distance est longue, plus on met de temps à la parcourir. Jusqu'ici ok. Mais plus une émission TV est longue, plus il est difficile de garder l'audimat.

Les gens veulent du spectaculaire, des fusées sur vélo, des mecs qui vont en chier un max et réaliser des trucs impossibles. Voir un mec faire une perf superbe sur 9h, on s'en fout. On veut des culs-de-jatte qui gagnent au 100m !

9 heures sur le velo... bonjour la prostate

Ca la masse, c'est cool

Moi je cautionne le dopage dans certain cas

Pour faire référence à un post de pousseur à propos des powers ukrainien et ben à leur place je ferais pareil.
Quand tu vis dans la misère et que tu te rend compte que tu peux gagner ta vie dans un sport et ben tu y vas quoi que ça te coute, dopage y compris. Et quand on parle du dopé qui est un con quand il a une famille, perso j'aime autant me dopé et pouvoir ramener de l'argent à la maison pour ma femme et mes gosses que de pas me doper et de voir ma famille crever de faim
J'y suis jamais allé dans les pays de l'est mais je pense que le pognon y tombe pas du ciel comme chez nous et je doute aussi qu'il y ai plein de boulot de tafiole avec des paies de ministre alors si le mecs faut qu'il se dope pour pouvoir vivre de part son sport je cautionne

Par contre dans ma salle, y a un mec qui s'est dopé pour finir 5ème au Top de Colmar, là ok c'est du grand n'importe quoi. Et malheureusement des tocards comme ça il y en a partout mais il font ce qu'ils veulent avec leur corps. Tant qu'ils ne se la ramène pas trop souvent ça passe

Prendre les gamins pour traiter les dopés de cons c'est aussi de la connerie, faudrait arreter de boire de l'alcool aussi, puis de fumer, puis de bouffer de la junk food, peut etre meme arreter la muscu pour pas crever sous la barre....

Même aux coûts ukrainiens, je ne pense pas que le power ou l'haltéro, frais de dope déduits, permettent de faire vivre beaucoup de monde.

La dernière partie de ton post est douteuse Patrick, mais le reste ne me paraît pas si mal.

Actuellement Smart c'est un forum pour naturels et de maniere generale pour pratiquants pas trop demeures sachant aligner deux phrases sans ecrire en mode "SMS". Le jour ou c'est plus le cas j'aurai plus de plaisir a venir mais ca m'empechera pas de dormir non plus.

Lou a écrit:La dernière partie de ton post est douteuse Patrick, mais le reste ne me paraît pas si mal.

Je dis ca parce qu'etant naturel voulant etre hardcore, etre bloqué sous la barre ca m'arrive au moins une fois toutes les 2 semaines

Lou a écrit:Même aux coûts ukrainiens, je ne pense pas que le power ou l'haltéro, frais de dope déduits, permettent de faire vivre beaucoup de monde.

perso je pense que des gars comme yarimbash ou kutcher qui gagne régulièrement en wpo doivent s'en sortir. Bien sur c'est pas beaucoup de monde sur tout ceux qui essaie mais c'est comme dans tout les sport

C'est trés trés intéressant de faire du power quand tu est a la wpc ... pour un power de l'est.

Le prix d'une maison en ukraine c'est 15 000 dollars, tu le gagnes en une compét...et la Testo en russie, çà coute que dalle...