de retour dans ta fente, d'ibiza
plusieurs éléments:
1 les pédés
2 les bourgeois de gauche
3 les toxicos et les dealers
4 la fibre
5 les saloperies qui t'attendent à ton retour de vacances. je sais pas comment tous les dévellopper.
je vais commencer par les pédés.
je n'ai jamais été vraiment homophobe, et si mon voisin venait me parler de son homosexualité, je n'en aurait rien à battre. mais de voir chouchous et loulours, tout de rose flu et d'orange vétu marcher en dandinant leur petits culs, c'est pas possible. les gars respirent tous le fric et la facilité, on se serait cru à une réunion d'actionnaires de chez orange. il y en a peu qui seraient pas passé au four.
en plus on dormaitr chez des bourgeois de gauche, spécialistes en platitudes pseudo intello, ou pour enfoncer des portes ouvertes ("ya de trés belles choses dans l'islam"). aussi, j'ai eu l'occasion d'apprendre que les homos étaient plus:
cultivés
sensibles
doués pour la décoration
doués pour la mode (sans doute de là le goût pour les fines moustaches de pédophiles assorties au pantalon jaune fluo de loulou.
on était dans un coin peuplé de toxico, de gitans qui chillent dans la rue (!), de dealer et de putain de bourgeois de gauche. dans la mer yavait des méduses, yavait aussi une salle de body avec des autographes de jcvd, de seagal, de chuck norris (!), de dolph lundgren, la folie. j'ai essentiellement dû utiliser des machines (pour les tantouzes) mais j'ai fait 3 heures de curl sur l'ensemble de la semaine
j'ai bien détesté l'jhumanité, pas assez charogné ma bourgeoise, et pété mon ordi avant mon départ. j'ai au moins la satisfaction de rentrer gras, bête et méchant. je dévelloperais les autres éléments plus tard.