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Kurganian a écrit:C'est aussi un refuge

Kurganian a écrit:Bon sinon je suis d'accord avec Guen.

Kurganian a écrit:Pas mal de dépressifs se réfugient dans le sommeil (hypersomnie, clinophilie).
Quand l'anxiété prend le pas, c'est plutôt l'insomnie qui guette.
Enfin Gromit doit mieux savoir que moi. Mes connaissances en psy restent basiques.

Se préparer au réveil
Nombreux sont enfin les exemples hormonaux qui prouvent que le corps mène une activité préparatoire au futur éveil. Ainsi, l'ACTH (hormone adréno corticotrope), une hormone hypophysaire, est majoritairement libérée dans l'organisme au milieu de la nuit.

Elle induit à son tour la sécrétion d'une autre hormone, le cortisol, produite par les glandes surrénales, qui a pour effet d'augmenter les taux sanguins de protéines, lipides, glucides et sels minéraux. Le pic de cortisol dans le sang, vers 3 heures du matin, permet donc de faire face au regain d'activité de notre organisme et à ses demandes accrues d'énergie quelques heures plus tard.

sans jamais chercher réellement d'étude qui le confirmerait, je suis un feignant...

traducteur pourri de google a écrit:Nous concluons que l'insomnie est associée à une augmentation globale de l'ACTH et la sécrétion de cortisol, qui, toutefois, conserve un modèle circadien normal. Ces résultats sont compatibles avec un trouble du système nerveux central hyperstimulé au lieu d'une perte de sommeil, qui est généralement associée à aucun changement ou de la diminution de la sécrétion de cortisol ou d'une perturbation circadienne. L'activation chronique des axes hypothalamo-hypophyso-surrénalien dans l'insomnie suggère que insomniaques ont des risques non seulement pour des troubles mentaux, c'est-à-dire l'anxiété chronique et la dépression, mais aussi médical important pour la morbidité liées à cette activation. L'objectif thérapeutique de l'insomnie devrait être de diminuer le niveau global et physiologique de l'excitation émotionnelle, et pas seulement à améliorer le sommeil la nuit.