Régime végétarien partiel : problèmes d'équilibre
Posté: 09/05/2013 12h27
Je suis en se moment en train de virer à un végétarisme partiel, ce pour plusieurs raisons :
— j’ai eu des problèmes intestinaux sévères avec les produits laitiers et plus particulièrement les protéines laitières.
— je me suis dit que c’était le moment de tester, en même temps qu’un régime d’épargne intestinale basique, une diète « vegan » et ça a mal tourné.
Problématique :
— Je ne peux plus toucher de protéines laitières, en particulier les whey « laitières » pures.
— Un régime vegan hypoprotéiné m’a mené à de gros problèmes de santé : je soupçonne que ça m’a fichu le système immunitaire en carafe, me clouant au lit pour une dizaine de jours.
Solution ?
— J’ai remonté les protéines avec de l’isolat de soja, plusieurs œufs le matin et parfois je mange un peu de dinde ou de poulet. Le problème devant lequel je me trouve aujourd’hui, c’est de garder suffisamment de protéines en évacuant un peu les féculents pour pouvoir maigrir encore un peu.
Le grand bazar des controverse vegans/carnivores
Le problème avec les régimes végétariens, c’est de faire la part des choses, entre
— les médecins qui répètent les vagues conseils qu’on leur a soufflés, parfois contradictoires (« surtout n’arrêtez pas le lait, le soja, ça ne peut pas le remplacer », « ne mangez pas plus de 5 œufs par semaine », « le végétarisme, c’est tenable, à condition de garder des œufs et des produits laitiers »…)
— les « vegans » qui poussent à la roue avec un prosélytisme qui va parfois jusqu’à la mauvaise foi (« l’homme est fait pour manger des végétaux », « plus de “bonnes” graisses = plus de santé », « plus de glucides donne de l’énergie »…)
Ce à quoi j'essaie de me tenir.
J’ai tendance, pour ma part à considérer :
— que les « bonnes graisses » n’ont pas à être présentes en quantité aussi importante que les végétariens le disent, qu’en plus elles risquent fort d’être transformées de manière déplaisante (ça ne semble pas inquiéter les vegans de cuire à tout bout de champs des produits truffés de poly-insaturés).
— que les « mauvaises » graisses ne sont pas si mauvaises que ça : les graisses saturées génèrent moins de phénomènes oxydatifs que les graisses insaturées.
— qu’à moins de se bourrer de féculents, c’est très chiant de « mélanger » diverses sources de protéines végétales (là on peut me dire de m’organiser, mais je ne suis pas seul à mon foyer et le frigo est petit).
— que l’excès de glucides n’est pas bon pour moi : je suis apparemment assez réactif et me retrouve vite dans des spirales hypoglycémiques (acquis, précisément à une époque où je mangeais énormément de féculents pour avoir assez de protéines).
J'ai vu des énervés de la graine et du manger sain faire des congestions cérébrales assez jeunes, et j'ai des doutes sur les régimes végétaliens extrêmes, du coup.
Mon régime actuel, en bref !
Résultat, pour avoir une quantité raisonnable de glucides, des acides gras poly-insaturés en quantité raisonnable et non transformés et un peu de graisses saturés j’ai tendance à opter pour un régime contenant :
— des œufs (souvent deux le matins, et parfois encore dans la journée)
— des féculents en quantité raisonnable (pas mal de pâtes, c’est vrai, mais aussi des flocons d’avoine en poudre, du riz, des lentilles, des haricots rouges, du quinoa…)
— du fromage (difficile de m’en passer, je suis accroc, et ça fait pas mal de protéines)
— parfois du tofu, mais je n’ose pas pousser les doses (dommage ! j’adore ça)
— parfois aussi de la dinde ou du poulet (entorse au végétarisme)
— de l’huile de colza ou d’olive, des mayonnaises au colza.
— des fruits secs (noix de cajou, surtout)
— de l’isolat de protéines de soja, plutôt l’après-midi.
Quelqu’un aurait-il un avis à me donner sur ces réflexions et sur ma diète ?
— j’ai eu des problèmes intestinaux sévères avec les produits laitiers et plus particulièrement les protéines laitières.
— je me suis dit que c’était le moment de tester, en même temps qu’un régime d’épargne intestinale basique, une diète « vegan » et ça a mal tourné.
Problématique :
— Je ne peux plus toucher de protéines laitières, en particulier les whey « laitières » pures.
— Un régime vegan hypoprotéiné m’a mené à de gros problèmes de santé : je soupçonne que ça m’a fichu le système immunitaire en carafe, me clouant au lit pour une dizaine de jours.
Solution ?
— J’ai remonté les protéines avec de l’isolat de soja, plusieurs œufs le matin et parfois je mange un peu de dinde ou de poulet. Le problème devant lequel je me trouve aujourd’hui, c’est de garder suffisamment de protéines en évacuant un peu les féculents pour pouvoir maigrir encore un peu.
Le grand bazar des controverse vegans/carnivores
Le problème avec les régimes végétariens, c’est de faire la part des choses, entre
— les médecins qui répètent les vagues conseils qu’on leur a soufflés, parfois contradictoires (« surtout n’arrêtez pas le lait, le soja, ça ne peut pas le remplacer », « ne mangez pas plus de 5 œufs par semaine », « le végétarisme, c’est tenable, à condition de garder des œufs et des produits laitiers »…)
— les « vegans » qui poussent à la roue avec un prosélytisme qui va parfois jusqu’à la mauvaise foi (« l’homme est fait pour manger des végétaux », « plus de “bonnes” graisses = plus de santé », « plus de glucides donne de l’énergie »…)
Ce à quoi j'essaie de me tenir.
J’ai tendance, pour ma part à considérer :
— que les « bonnes graisses » n’ont pas à être présentes en quantité aussi importante que les végétariens le disent, qu’en plus elles risquent fort d’être transformées de manière déplaisante (ça ne semble pas inquiéter les vegans de cuire à tout bout de champs des produits truffés de poly-insaturés).
— que les « mauvaises » graisses ne sont pas si mauvaises que ça : les graisses saturées génèrent moins de phénomènes oxydatifs que les graisses insaturées.
— qu’à moins de se bourrer de féculents, c’est très chiant de « mélanger » diverses sources de protéines végétales (là on peut me dire de m’organiser, mais je ne suis pas seul à mon foyer et le frigo est petit).
— que l’excès de glucides n’est pas bon pour moi : je suis apparemment assez réactif et me retrouve vite dans des spirales hypoglycémiques (acquis, précisément à une époque où je mangeais énormément de féculents pour avoir assez de protéines).
J'ai vu des énervés de la graine et du manger sain faire des congestions cérébrales assez jeunes, et j'ai des doutes sur les régimes végétaliens extrêmes, du coup.
Mon régime actuel, en bref !
Résultat, pour avoir une quantité raisonnable de glucides, des acides gras poly-insaturés en quantité raisonnable et non transformés et un peu de graisses saturés j’ai tendance à opter pour un régime contenant :
— des œufs (souvent deux le matins, et parfois encore dans la journée)
— des féculents en quantité raisonnable (pas mal de pâtes, c’est vrai, mais aussi des flocons d’avoine en poudre, du riz, des lentilles, des haricots rouges, du quinoa…)
— du fromage (difficile de m’en passer, je suis accroc, et ça fait pas mal de protéines)
— parfois du tofu, mais je n’ose pas pousser les doses (dommage ! j’adore ça)
— parfois aussi de la dinde ou du poulet (entorse au végétarisme)
— de l’huile de colza ou d’olive, des mayonnaises au colza.
— des fruits secs (noix de cajou, surtout)
— de l’isolat de protéines de soja, plutôt l’après-midi.
Quelqu’un aurait-il un avis à me donner sur ces réflexions et sur ma diète ?