La libido est dûe à un surplus d'énergie disponible, et est modulée par l'environnement.
Il y a deux états pour la libido, l'état au repos, et l'état en alerte.
Bien sûr c'est mon expérience, peut être applicable à d'autres hommes, mais pour les femmes je ne sais pas du tout si ça peut être pareil.
L'état au
repos c'est la libido présente lorsqu'aucun stimuli visuel, olfactif ou autre n'agit dessus: c'est comme la faim, ça ne vient que si tu es en manque, donc qu'il y a un
besoin.
Exemple quand j'ai passé la journée dehors au froid, mais aussi si je ne fais rien du tout, tôt ou tard mon corps réclame à manger parce qu'il a brûlé beaucoup de calories, ça vient tout seul.
L'état en
alerte, c'est quand la libido apparait ou s'amplifie suite à un stimuli visuel, olfactif ou autre... c'est comme la gourmandise, ce désir est provoqué par l'objet de la convoitise, donc c'est une
envie.
Exemple quand j'aperçois du chocolat, j'ai tout de suite envie de le bouffer sans autre formalité, mais si je ne l'avais pas vu je n'aurais pas eu faim.
A propos des phéromones, je peux témoigner de l'exactitude de ce phénomène. Ma libido au repos étant naturellement basse
, je remarque tout de suite quand elle se réveille. Parfois quand je suis à moins d'un mètre de certaines filles pourtant en apparence quelconques, je me sens de plus en plus plein d'énergie en quelques minutes... c'est ce qui doit pousser à faire le malin dans ces cas là
. Une fois la fille disparue l'effet énergétique dure au moins une journée avant de s'apaiser. Et comme par hasard j'ai lu je ne sais plus où (peut être ici?) que la testo augmente suite à ce genre de situation et qu'elle ne redescend qu'après environ 12 heures. Cet effet est bien chimique (comme le sommeil), et non dépendant d'une histoire de goûts, pour preuve ça m'est arrivé avec une fille que je trouvais très moche
mais j'avais une envie irrésistible de conclure sexuellement au plus vite, ça ne s'est produit qu'une ou deux fois dans ma vie, effet phénoménal mais très rare.
Quand je fais trop de roller, effort modéré mais très long, ma libido baisse d'autant
, et comme par hasard c'est toujours à ce moment là que je chope un bouton de fièvre
, preuve que le corps est fatigué, donc pas d'énergie en surplus, donc pas de libido.
Quand je fais de la muscu très régulièrement, après plusieurs mois, le niveau d'énergie disponible grandissant pour tenter d'effectuer la prochaine séance sans se fatiguer (c'est ça l'adaptation) fait que ma libido au repos augmente de plus en plus
.
A l'arrêt de l'entrainement, elle repart avec la condition physique, car le corps ne cherche plus à avoir plus d'énergie pour la séance suivante, et donc en quelques mois je retourne en hibernation
.