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Bonsoir !

Auriez-vous quelques études sous la main qui prouvent qu'il y a un plus gros catabolisme musculaire lorsqu'il y a perte de poids rapide par rapport à une perte de poids aussi importante mais plus lente ? J'entends beaucoup cette affirmation mais elle n'est jamais vraiment étayée avec du solide. C'est le plus souvent une vérité de troisième main.

Pourriez vous m'aider?

VanessaFitness a écrit:J'entends beaucoup cette affirmation mais elle n'est jamais vraiment étayée avec du solide. C'est le plus souvent une vérité de troisième main.

C'est juste l'expérience de milliers de culturistes qui préparent une compétition. :-)

Mais libre à toi de chercher les éventuelles études sur la question sur ce site :
https://www.nlm.nih.gov/

Au-delà du processus biologique, pour perdre du poids très vite, il faut une diète très hypo-calorique, et dans ce cas, il est impossible de maintenir des entraînements de musculation suffisamment intenses.

Essaye, tout simplement. :-)

Salut,

Encore faut-il définir "rapide" et "lente".

Cependant, rien "sous la main", mais ça doit se trouver. Il y a quand même une certaine logique.

Comment perdre du poids rapidement (outre la perte d'eau initiale) ? En se sous-alimentant fortement.
Et dans ce cas en l'absence de nutriments, le corps va assez rapidement devoir aller taper dans les muscles pour trouver de l'énergie. A part à se nourrir presque exclusivement de protéines, ce qui n'est pas idéal point de vu santé.

Prise ou perte de poids, il est de toute façon néfaste de vouloir varier celui-ci de façon importante sur une courte durée, donc je ne saisis de pas l'intérêt de trouver justification à une telle pratique

matclems a écrit:
Cependant, rien "sous la main", mais ça doit se trouver. Il y a quand même une certaine logique.

Comment perdre du poids rapidement (outre la perte d'eau initiale) ? En se sous-alimentant fortement.
Et dans ce cas en l'absence de nutriments, le corps va assez rapidement devoir aller taper dans les muscles pour trouver de l'énergie. A part à se nourrir presque exclusivement de protéines, ce qui n'est pas idéal point de vu santé.

Prise ou perte de poids, il est de toute façon néfaste de vouloir varier celui-ci de façon importante sur une courte durée, donc je ne saisis de pas l'intérêt de trouver justification à une telle pratique

En un mois et demi par rapport à 3-6 mois par exemple.

Cela doit se trouver oui mais j'ai aussi posé la question à pas mal de pros dans mon entourage et ils me renvoient tous également à rechercher par moi-même. "Ça se trouve" mais on en a pas et on en a jamais vu en fait...

Ce qui me fait suspecté que toutes ces affirmations catégoriques comme quoi c'est le cas (un catabolisme musculaire plus important lors d'une perte de poids plus rapide à volume d'entrainement égal) ne soit que de la "bro-science".

Et au vu de ce que tu me balances avec dogmatisme et suffisance à la fin ("donc je ne saisis pas l'intérêt de trouver justification à une telle pratique "), je suspecte que tu ne t'appuies pas non plus sur du solide mais sur cette "bro-science"...

Prouve moi que j'ai tord à ma façon Matclems, je ne demande que ça ! Cela servira pour d'autres en plus.

Quel poids de départ ? Quel poids de fin ? Quelle composition corporelle ?

Tellement de situations... Et les propos de Fabrice complètent ma réponse.

N'importe quelle étude scientifique sur ce sujet, peu importe l'échantillon (obèses, femmes enceintes... pour citer des panels très courants), on en trouvera d'autres connexes plus facilement avec déjà une étude en main !

L'expérience de milliers de personnes et la logique démontrent que c'est mieux pour préserver la masse musculaire de perte pas trop rapidement. Je n'ai pas d'intérêt à rechercher les preuves pour toi

On va aller dans le sens inverse, vu que ça t'importe tant. Tu peux utiliser le lien de Fabrice et rechercher une étude qui prouve qu'une perte rapide préserve tout autant la masse musculaire qu'une perte plus lente

Ça tourne au jeu d'ego... J'ai déjà expliqué pour l'empirisme. Si toi cela te suffit c'est ton affaire, je te laisse avoir raison dans ton coin, mais respecte que ce ne soit pas la mienne.

Eh puis si il y a tant de parcours qui accréditent cette thèse, génial je vais trouvé plus facilement des études ! Ah non mince, l’expérience me démontre le contraire. Pour l'instant je fais choux blanc sur le lien de Fabrice et Google Scholar, j'en suis à 2h de recherche.

Je te donnerais raison quand j'aurai du concret et du rigoureux entre les mains, pas avant. Et surement pas avec de la bro-science et de l'approximatif. Avec de l'ignorance.

Voilà Vanessa :

Participants on the very-low-calorie diet had lost about 3.5 pounds of fat-free mass, compared with 1.3 pounds among those on the low-calorie diet. Fat-free mass accounted for 18 percent of weight loss in the very-low-calorie diet group and 7.7 percent of weight loss in the low-calorie diet group, the study found.

Four weeks after the end of their diets, reductions in fat-free mass averaged 1.8 pounds among those in the very-low-calorie diet group and 0.7 pounds among those in the low-calorie diet group. Fat-free mass accounted for 9.4 percent of weight loss in the very-low-calorie diet group and 2.9 percent of weight loss in the low-calorie diet group, according to the report.

Source :

Je n'en ai pas trouvé d'autres.

L'empirisme en musculation, ça compte quand même pas mal... Les culturistes ont des décennies d'expérience maintenant.

Ici aussi:

...The degree of caloric restriction was positively associated with %FFML ...