Depistage par analyse des urines
Posté: 29/04/2006 21h07en cherchant sur coogle des infos sur les depistages d'urines
j'ai trouvè des choses etonnante
j'immaginais meme pas que ca pouvait etre aussi simple de les contourner.
j'ai aussi etais etonnè de voir que les exemples dont disposè le truc ou j'ai puisè semblaient pas remplis d'infos ou methodes de masquage tres recente,et tout en restant consciens que les tests ont forcement toujours un temps de retard puisque on ne sait jamais quels nouveaux produits vont sortir,mais quand meme ... ca parait pas au top la
exemple de cas (j'ai pas tout mis)
- Les autres recettes
Diverses recettes plus ou moins magiques courent encore sur des médicaments ou des breuvages qui permettraient de passer à travers les tests sans être inquiété. D'après certaines sources, la consommation à doses massives d'heptaminol et de stéroïdes anabolisants favoriserait la formation de grosses molécules qui filtreraient difficilement au niveau rénal et laisseraient donc peu de trace au contrôle. Le vinaigre jouit également d'une flatteuse réputation. La rumeur rapporte que plusieurs champions s'efforcent d'en boire des grandes quantités avant de passer au test, ce qui aurait là encore pour effet de perturber les dosages. L'alcool lui-même aurait des vertus similaires. On retrouve tous ces éléments dans l'histoire de Ben Jonhson telle qu'elle fut finalement mise à jour après son exclusion pour dopage des Jeux de Séoul. On apprit ainsi que son médecin (le Dr Astaphan) lui avait prescrit un diurétique pour évacuer toute trace dans son organisme du traitement aux stéroïdes qu'il avait suivi peu de temps auparavant. Le jour de la finale, il lui donna en outre un mélange de vinaigre et de miel. Lors de son procès, Ben Johnson niera sous serment avoir ingurgité ce breuvage, préférant se rabattre sur la bière. Lors du contrôle, il avait effectivement ingurgité une dizaine de bières. Officiellement pour pouvoir uriner, mais sans doute aussi espérait-il tirer profit de l'effet diurétique de la boisson faiblement alcoolisée.
- Les ajouts
Une autre façon de procéder pour le tricheur consiste à mélanger aux urines une substance qui empêche ensuite le travail de laboratoire. D'après divers témoignages, on sait que des athlètes américains avaient pris l'habitude d'enduire leurs mains d'huile de moteur, puis de pisser dessus de façon à ce que des résidus du produit se mélangent à l'urine. Impossible alors d'effectuer le moindre dosage. Dans d'autres échantillons, on a trouvé des traces de détergents. L'une des histoires les plus étonnantes concerne la nageuse irlandaise Michelle Smith qui, lors d'un contrôle en 1998, avait rendu des urines que caractérisait une très forte odeur de whisky. L'analyse confirma cette impression. On trouvait là une concentration d'alcool bien supérieure à ce que l'on pouvait raisonnablement tirer d'une consommation humaine. Dieu sait comment, la nageuse était parvenue à effectuer ce mélange avant de remettre le récipient aux enquêteurs. Une trace aussi manifeste de tricherie fut néanmoins sanctionnée par une exclusion de quatre années, synonyme pour elle de retraite!
Gilles Goetghebuer
hallucinnant
ca parait si achaique
et dire q'il y a des fedès qui en font presque pas..
ce qui est fou ausi c'est que les grands champions dans des sports tres pratiquè comme l'athlè et j'immagine donc le foot etc ont ces meme tests.
(le lanceur de disque fazekas y'a pas si longtemps)
j'imagine pas les methodes toutes aussi farfelues que ingenieuses qui ont permis de passer au travers de ce test de bèbè
j'ai trouvè des choses etonnante
j'immaginais meme pas que ca pouvait etre aussi simple de les contourner.
j'ai aussi etais etonnè de voir que les exemples dont disposè le truc ou j'ai puisè semblaient pas remplis d'infos ou methodes de masquage tres recente,et tout en restant consciens que les tests ont forcement toujours un temps de retard puisque on ne sait jamais quels nouveaux produits vont sortir,mais quand meme ... ca parait pas au top la
exemple de cas (j'ai pas tout mis)
- Les autres recettes
Diverses recettes plus ou moins magiques courent encore sur des médicaments ou des breuvages qui permettraient de passer à travers les tests sans être inquiété. D'après certaines sources, la consommation à doses massives d'heptaminol et de stéroïdes anabolisants favoriserait la formation de grosses molécules qui filtreraient difficilement au niveau rénal et laisseraient donc peu de trace au contrôle. Le vinaigre jouit également d'une flatteuse réputation. La rumeur rapporte que plusieurs champions s'efforcent d'en boire des grandes quantités avant de passer au test, ce qui aurait là encore pour effet de perturber les dosages. L'alcool lui-même aurait des vertus similaires. On retrouve tous ces éléments dans l'histoire de Ben Jonhson telle qu'elle fut finalement mise à jour après son exclusion pour dopage des Jeux de Séoul. On apprit ainsi que son médecin (le Dr Astaphan) lui avait prescrit un diurétique pour évacuer toute trace dans son organisme du traitement aux stéroïdes qu'il avait suivi peu de temps auparavant. Le jour de la finale, il lui donna en outre un mélange de vinaigre et de miel. Lors de son procès, Ben Johnson niera sous serment avoir ingurgité ce breuvage, préférant se rabattre sur la bière. Lors du contrôle, il avait effectivement ingurgité une dizaine de bières. Officiellement pour pouvoir uriner, mais sans doute aussi espérait-il tirer profit de l'effet diurétique de la boisson faiblement alcoolisée.
- Les ajouts
Une autre façon de procéder pour le tricheur consiste à mélanger aux urines une substance qui empêche ensuite le travail de laboratoire. D'après divers témoignages, on sait que des athlètes américains avaient pris l'habitude d'enduire leurs mains d'huile de moteur, puis de pisser dessus de façon à ce que des résidus du produit se mélangent à l'urine. Impossible alors d'effectuer le moindre dosage. Dans d'autres échantillons, on a trouvé des traces de détergents. L'une des histoires les plus étonnantes concerne la nageuse irlandaise Michelle Smith qui, lors d'un contrôle en 1998, avait rendu des urines que caractérisait une très forte odeur de whisky. L'analyse confirma cette impression. On trouvait là une concentration d'alcool bien supérieure à ce que l'on pouvait raisonnablement tirer d'une consommation humaine. Dieu sait comment, la nageuse était parvenue à effectuer ce mélange avant de remettre le récipient aux enquêteurs. Une trace aussi manifeste de tricherie fut néanmoins sanctionnée par une exclusion de quatre années, synonyme pour elle de retraite!
Gilles Goetghebuer
hallucinnant
ca parait si achaique
et dire q'il y a des fedès qui en font presque pas..
ce qui est fou ausi c'est que les grands champions dans des sports tres pratiquè comme l'athlè et j'immagine donc le foot etc ont ces meme tests.
(le lanceur de disque fazekas y'a pas si longtemps)
j'imagine pas les methodes toutes aussi farfelues que ingenieuses qui ont permis de passer au travers de ce test de bèbè
