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Libérez l'ile de Puteaux !

MessagePosté: 24/07/2004 01h17
par Fabrice SP

MessagePosté: 24/07/2004 01h30
par Pos
on pete leur barriere?
Gros proposait d'y aller ce soir, faudrait fair eun comando et la peter cette putain de barriere

MessagePosté: 24/07/2004 10h37
par Fabrice SP
le soir elle est protégé par des chiens d'après les rumeurs

bon courage ! :p

MessagePosté: 24/07/2004 12h08
par Kn P
Bah on a qu'à faire 2 commandos : le premier pète la barrière, le second pète le(s) chien(s) !

MessagePosté: 24/07/2004 13h25
par Fastraph
Je vous suggère 3 commandos :

1) le premier pète la barrière (ok)
2) le second pète le(s) chien(s) ! (ok)
3) Le troisième emmène les survivants à l'hosto ! :D

MessagePosté: 24/07/2004 21h28
par Ayor
Bah on a qu'à faire 2 commandos : le premier pète la barrière, le second pète le(s) chien(s) !

Pos se dévoue pour composer à lui seul le second commando. :)

MessagePosté: 24/07/2004 23h22
par Nrj
POur passer rien de plus simple... Faut juste une corde ce sera plus facile.



Vous accrochez la corde tout à droite de la barrière et vous passez vers les pics de protections, comme en rappel, ca doit être marrant et facile.

MessagePosté: 26/07/2004 16h17
par Fred
Pourquoi ne pas demander a voir le maire en personne, étant élu il a l'obligation de vous recevoir!

Re: Libérez l'ile de Puteaux !

MessagePosté: 04/02/2006 20h14
par Guen
Un habitant de Puteaux comparaît pour diffamation sur son blog
LE MONDE | 04.02.06 | 13h43 • Mis à jour le 04.02.06 | 13h43

Dans la bonne ville de Puteaux (Hauts-de-Seine) s'est niché un drôle de moustique. Voilà bientôt quatre ans que sa susurration perturbe la tranquillité des travaux de la majorité municipale (UMP) et que ses piqûres agacent tout particulièrement la famille Ceccaldi-Raynaud, père et fille, qui se sont succédé dans le fauteuil de maire. En avril 2004, une piqûre un peu plus vive que les autres les a décidés à porter plainte au nom de la ville.


Le moustique, un trentenaire à l'allure juvénile, Christophe Grébert, comparaissait, vendredi 3 février, devant la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour diffamation. Il lui était reproché d'avoir diffusé sur son blog (monputeaux.com), un article du Parisien qui, sous le titre "Nouveaux remous à la mairie de Puteaux", évoquait le licenciement d'une employée municipale et les menaces que celle-ci aurait reçues après avoir dénoncé des irrégularités dans une passation de marchés publics. Sur son blog, Christophe Grébert avait ajouté des commentaires personnels, dans lesquels il affirmait avoir été, lui aussi, la cible de tentatives d'intimidation.

Poursuivi au côté du Parisien, Christophe Grébert a tenté de faire valoir, devant le tribunal, la spécificité de son blog, qu'il a présenté comme "le site d'un citoyen qui veut faire circuler l'information locale". L'idée, a-t-il raconté, lui est venue au lendemain du premier tour de l'élection présidentielle de 2002, qui avait vu son candidat, Lionel Jospin, être devancé par Jean-Marie Le Pen. "Ça a été un choc pour moi et j'ai décidé de m'engager. J'ai adhéré au PS le 22 avril et, comme je suis journaliste, j'ai ouvert ce blog. Je me promène dans la ville avec mon appareil photo et je mets en ligne aussi bien une manifestation culturelle ou sportive qu'un fait divers ou un compte rendu du conseil municipal."

Sur monputeaux.com, Christophe Grébert n'a pas manqué de chroniquer les déboires judiciaires de l'ancien maire, Charles Ceccaldi-Raynaud. "Je fais une revue de presse, s'est-il défendu. Dès qu'on parle de Puteaux quelque part, je le mets sur mon blog." Un argument jugé irrecevable par l'avocat de la ville, Me Jean-Marc Fedida, selon lequel il n'y a pas lieu de faire une distinction entre un journal et un blog. "Quel que soit le moyen utilisé, la diffamation n'appartient pas au débat public", a souligné l'avocat en qualifiant M. Grébert de "moto-crottes de la diffamation, qui se promène et ramasse tout ce qui traîne dans les rues de Puteaux".

Si elle a considéré que, pour Le Parisien, la diffamation devait être retenue par le tribunal, la procureure, Béatrice Vautherin, ne s'est en revanche pas prononcée sur le cas du blog de Christophe Grébert. "On pourrait a priori lui accorder le bénéfice de la polémique citoyenne s'il s'agit d'un site personnel pour lequel il n'est pas tenu à un devoir d'information et de contradiction", a indiqué Mme Vautherin. Mais si monputeaux.com devait être considéré comme le site "plus officiel" d'un sympathisant politique, alors il serait tenu à "davantage de précautions contradictoires", a-t-elle observé. Jugement le 17 mars.

Pascale Robert-Diard




MessagePosté: 04/02/2006 23h58
par Martial K.
les enfoirés de M... !

casser la baraque ! casser la gueule ! tout casser ! tout casser ! tout casser !

des gros CONNARDS ! des POURRIS !

donnez moi une hache que je coupe des tetes bordel :mad: :evil:

Re: Libérez l'ile de Puteaux !

MessagePosté: 05/02/2006 00h10
par Jm O
Deviendrais-tu rebelle avec l'âge ? :)

MessagePosté: 15/02/2006 14h24
par Kn P
J'ai pu constater lors de mon passage en France que la barrière de la honte n'était plus :) .

Re: Libérez l'ile de Puteaux !

MessagePosté: 17/03/2006 18h46
par Guen
[b]Un "blogueur" poursuivi pour diffamation a été relaxé [/b]

L'auteur d'un "blog" (site internet personnel), poursuivi en diffamation par la municipalité UMP de Puteaux dans les Hauts-de-Seine, a été relaxé par le tribunal correctionnel de Paris.

Ce jugement, l'un des premiers portant sur la question juridique de l'application des délits de presse à la "toile", retient une voie plutôt libérale.

Les juges ont certes rejeté les arguments du "blogueur" du site "Monputeaux.com", Christophe Grébert, qui soutenait que la loi de juillet 1881 sur la presse ne s'appliquait pas à un site personnel. Les magistrats s'appuient sur une loi de juin 2004 sur l'économie numérique.

Ils ont estimé cependant que les exigences légales étaient moindres pour un "blog" que pour un journal.

"Quoique journaliste de profession, le prévenu dirigeant le site litigieux à titre purement privé et bénévole n'était pas tenu de se livrer à une enquête complète et la plus objective possible des faits qu'il évoquait", dit le jugement.

La municipalité de Puteaux va faire appel du jugement, a déclaré son avocat, Me Jean-Marc Fedida.

Christophe Grébert, 37 ans, militant socialiste déclaré, était poursuivi pour la diffusion sur son blog d'un extrait d'un article du Parisien du 26 avril 2004 intitulé "Nouveau remous à la mairie de Puteaux", concernant l'installation d'une piste de ski artificielle sur la commune.

L'article donnait la parole à une ancienne employée affirmant avoir été licenciée, puis menacée par téléphone, après avoir alerté sa supérieure sur le coût excessif et le manque de fiabilité financière du fournisseur choisi par la ville.