Posté: 07/05/2004 18h16
Je rajouterais qu'aucun animal sauvage ne consomme de lait à l'âge adulte. Pourquoi l'homme devrait-il être l'exception ?
De plus aucun animal sauvage boit le lait d'un autre animal d'une autre espèce. Pourquoi l'homme devrait-il être l'exception ?
Le lait est un aliment de croissance vu qu'il permet entre autre de transmettre l'information par les protéines à l'élaboration de l'osséine (tu sais le filet de cartilage qui permet de retenir les minéraux ...) Chaque lait possède cette information à transmettre.
Maintenant autre chose, le cerveau de l'enfant humain à besoin d'acide gras polyinsaturés en grosse proportion. Ca tombe bien le lait humain en contient essentiellement. Le lait de vache, quant à lui, contient essentiellement du gras saturés ...
Le Dr Luca en 1992 à d'ailleurs réaliser une étude chez des enfants d'âge moyenne de 8 ans. D'un coté, un groupe d'enfant "nourri au lait de vache", d'un autre coté un group d'enfant "nourri au lait maternel". Le QI des enfants nourri au lait de vache était inférieur à ceux qui étaient nourri au lait maternel.
Je sais, il y en a qui on que çà à foutre, mais les faits sont là ...
Maintenant, si on explore la littérature, on constate que le lait de vache et ses dérivés ont été incriminés dans diverses maladies :
1) Dans la polyarthrite rhumatoïde, l'arrêt des produits laitiers provoque une rémission des arthrites, leur réintroduction est suivie d'une reprise des arthrites, chez un pourcentage non négligeable de patients (DARLINGTON 1986).
2) Dans le diabète sucré juvénile d'installation récente, KARJALAINEN et Coll. (1992) observent constamment un titre élevé d'anticorps anti-albumine ovine et attribuent à ces anticorps un rôle dans la genèse des lésions du pancréas endocrine.
3) Dans la sclérose en plaque, Kousmine (1980) et Swank (1991) ont obtenus de remarquables blocages de l'évolution en demandant à leurs malades de supprimer de leur alimentation les graisses saturées d'origine animale, parmi lesquelles lait et dérivés, et de les remplacer par des graisses insaturées d'origine végétale.
4) Au cours de la néphropathie à IgA, SATO et Coll. (1988) ont mis en évidence des molécules antigéniques issues du lait dans les complexes immuns déposés au niveau des glomérules rénaux.
5) Certaines migraines sont clairement provoquées par la prise de produits laitiers et cessent lorsque ceux-ci sont exclus (MONRO et Coll. 1984).
6) La maladie de Crohn est nettement plus répandue chez les Anglosaxons et les Scandinaves que chez les Latins. Ceci a été rapproché de la consommation de lait bien plus grande chez les premiers que chez les seconds.
7) En France, les accidents cardio-vasculaires sont plus fréquents, la durée de vie plus courte chez les Nordistes que chez les sudistes. Ceci est attribué en partie à l'emploi du beurre chez les premiers, et à l'emploi d'huile d'olive chez les seconds...
Egalement, le Docteur Dufhilo rend le lait de vache responsable d'encrassement et affirme qu'un retour à la bonne santé doit passer par un décrassage intelligent. Il a traité des malades présentant des tumeurs aux seins avec la suppression totale de tous les produits laitiers. Il propose aux malades d'en faire eux-mêmes l'essai et de se passer de lait durant un ou deux mois et de voir. Il propose également aux bien-portants de la faire en tant qu'expérience pour constater s'ils en retirent un regain de vigueur, entrain et endurance.
De plus, le docteur Arturo Capdeville, constate des paralysies infantiles (polio) dues à la consommation de produits laitiers. Il affirme que les troubles de santé par l'apport quotidien de lait de vache sont nombreux : maladies cardio-vasculaires, inflammations, allergies, syndromes de mort subite chez le jeune enfant, troubles nerveux mineurs et schizophrénie.
L'intolérance à la béta-lacta-blobuline, une protéine du lait de vache, est très fréquente chez les nourrissons et ceux-ci ont le réflexe intelligent de la refuser. Ils pleurent, crachent, vomissent, ont des diarrhées, mais l'insistance bornée des adultes conduit leur organisme à un état de tolérance des antigènes du lait de vache.
Bruno Comby, quant à lui, constate des améliorations des états de sida avec la suppression des laitages. Il déplore que l'homme soit le seul mammifère qui continue à boire du lait à l'âge adulte (à son désavantage) bien que notre sécrétion d'enzymes digestifs du lait (lactase) se tarisse à partir de l'âge de trois ans.
Même un pédiatre, du nom de Paul Gyorgy affirme également que le lait de vache est la meilleure nourriture pour le veau et le lait maternel est la meilleure pour le bébé.
Les Docteurs Dominique Gros, Richard Lennart et Paul Vesin, quant à eux, encouragent l'allaitement maternel et déconseillent vigoureusement le lait de vache.
Encore un autre toubib, le Docteur Comet rend le lait de vache responsable de troubles hormonaux par la présence quasi permanente de protéines lactées dans la région hypophysaire provoquant des freins hormonaux responsables de troubles des règles, de stérilité, de prise de poids, de mastoses et de kystes bénins de la glande mammaire. Par son acide butyrique corrosif pour l'être humain, mais physiologique pour le veau, il constate la présence de toxines agissant sur le foie qui sont responsables de nombreuses crises de foie, de colites, d'infections, de maux de tête, de rhumatismes.
Il conseille à la femme ménopausée de ne pas consommer de laitages à cause du risque d'ostéoporose car on obtient les effets contraires d'une reminéralisation avec les produits laitiers. Le lait de vache est trois fois trop riche en calcium et pas assez en vitamine D qui fixe le calcium.
Il observe également que l'acide butyrique contenu dans le lait, le beurre et le fromage attaque la paroi intestinale, permettant un passage dans le sang des résidus contenus dans les excréments qui pourront être digérés. Cela équivaut à une surdigestion des excréments, phénomène normal chez le veau sous la mère qui grossit ainsi de 1 kg par jour pendant 6 mois, mais qui au-delà de cet âge, ne se nourrira que de végétaux.
Chez le Docteur A Narodetzki observe que le lait de vache contient des germes infectieux parce que les vaches sont souvent atteintes d'une maladie infectieuse et de phtisie (sommelière). Son usage peut transmettre la tuberculose dans les poumons, le cerveau (méningite), les os et autres organes, la scarlatine et provoquer la diarrhée verte chez les nourrissons. Le lait est défendu dans l'enterocolite muco-membraneuse, dans les entérites parce qu'il favorise les bacilles protéolytiques qui existent dans les entérites et provoque des gaz, des ballonnements, et des douleurs.
Le Professeur Reinert (centre hospitalier intercommunal de Créteil) donne une information intéressante : "les anticorps IGA dans le lait maternel ont certes un rôle important mais les cellules vivantes comme les lymphocytes.11 et les macrophages sécréteurs d'interféron transmettent sans doute une information immunitaire durable se prolongeant pendant plusieurs mois" C'est pourquoi il est si important d'allaiter le bébé au sein durant au moins les six premiers mois, et au mieux durant trois ans.
Le Dr Jane Cottinghan, dans son livre "Le biberon bébé", remarque que l'ingestion de lait de vache chez le bébé provoquerait des infections intestinales incluant des diarrhées de type escherichia-coli et autres organismes, entérovirus, tandis que le lait maternel est un anti-infectieux, grâce à la présence d'une sécrétion d'immunoglobuline à lysozyme et de facteur bifidus.
Je m'arrête là....
Maintenant Michaël, j'attends tes contre-arguments pro-lait avec intérêt et j'espère que tu me sortiras autre chose que "best Of" ...
De plus aucun animal sauvage boit le lait d'un autre animal d'une autre espèce. Pourquoi l'homme devrait-il être l'exception ?
Le lait est un aliment de croissance vu qu'il permet entre autre de transmettre l'information par les protéines à l'élaboration de l'osséine (tu sais le filet de cartilage qui permet de retenir les minéraux ...) Chaque lait possède cette information à transmettre.
Maintenant autre chose, le cerveau de l'enfant humain à besoin d'acide gras polyinsaturés en grosse proportion. Ca tombe bien le lait humain en contient essentiellement. Le lait de vache, quant à lui, contient essentiellement du gras saturés ...
Le Dr Luca en 1992 à d'ailleurs réaliser une étude chez des enfants d'âge moyenne de 8 ans. D'un coté, un groupe d'enfant "nourri au lait de vache", d'un autre coté un group d'enfant "nourri au lait maternel". Le QI des enfants nourri au lait de vache était inférieur à ceux qui étaient nourri au lait maternel.
Je sais, il y en a qui on que çà à foutre, mais les faits sont là ...
Maintenant, si on explore la littérature, on constate que le lait de vache et ses dérivés ont été incriminés dans diverses maladies :
1) Dans la polyarthrite rhumatoïde, l'arrêt des produits laitiers provoque une rémission des arthrites, leur réintroduction est suivie d'une reprise des arthrites, chez un pourcentage non négligeable de patients (DARLINGTON 1986).
2) Dans le diabète sucré juvénile d'installation récente, KARJALAINEN et Coll. (1992) observent constamment un titre élevé d'anticorps anti-albumine ovine et attribuent à ces anticorps un rôle dans la genèse des lésions du pancréas endocrine.
3) Dans la sclérose en plaque, Kousmine (1980) et Swank (1991) ont obtenus de remarquables blocages de l'évolution en demandant à leurs malades de supprimer de leur alimentation les graisses saturées d'origine animale, parmi lesquelles lait et dérivés, et de les remplacer par des graisses insaturées d'origine végétale.
4) Au cours de la néphropathie à IgA, SATO et Coll. (1988) ont mis en évidence des molécules antigéniques issues du lait dans les complexes immuns déposés au niveau des glomérules rénaux.
5) Certaines migraines sont clairement provoquées par la prise de produits laitiers et cessent lorsque ceux-ci sont exclus (MONRO et Coll. 1984).
6) La maladie de Crohn est nettement plus répandue chez les Anglosaxons et les Scandinaves que chez les Latins. Ceci a été rapproché de la consommation de lait bien plus grande chez les premiers que chez les seconds.
7) En France, les accidents cardio-vasculaires sont plus fréquents, la durée de vie plus courte chez les Nordistes que chez les sudistes. Ceci est attribué en partie à l'emploi du beurre chez les premiers, et à l'emploi d'huile d'olive chez les seconds...
Egalement, le Docteur Dufhilo rend le lait de vache responsable d'encrassement et affirme qu'un retour à la bonne santé doit passer par un décrassage intelligent. Il a traité des malades présentant des tumeurs aux seins avec la suppression totale de tous les produits laitiers. Il propose aux malades d'en faire eux-mêmes l'essai et de se passer de lait durant un ou deux mois et de voir. Il propose également aux bien-portants de la faire en tant qu'expérience pour constater s'ils en retirent un regain de vigueur, entrain et endurance.
De plus, le docteur Arturo Capdeville, constate des paralysies infantiles (polio) dues à la consommation de produits laitiers. Il affirme que les troubles de santé par l'apport quotidien de lait de vache sont nombreux : maladies cardio-vasculaires, inflammations, allergies, syndromes de mort subite chez le jeune enfant, troubles nerveux mineurs et schizophrénie.
L'intolérance à la béta-lacta-blobuline, une protéine du lait de vache, est très fréquente chez les nourrissons et ceux-ci ont le réflexe intelligent de la refuser. Ils pleurent, crachent, vomissent, ont des diarrhées, mais l'insistance bornée des adultes conduit leur organisme à un état de tolérance des antigènes du lait de vache.
Bruno Comby, quant à lui, constate des améliorations des états de sida avec la suppression des laitages. Il déplore que l'homme soit le seul mammifère qui continue à boire du lait à l'âge adulte (à son désavantage) bien que notre sécrétion d'enzymes digestifs du lait (lactase) se tarisse à partir de l'âge de trois ans.
Même un pédiatre, du nom de Paul Gyorgy affirme également que le lait de vache est la meilleure nourriture pour le veau et le lait maternel est la meilleure pour le bébé.
Les Docteurs Dominique Gros, Richard Lennart et Paul Vesin, quant à eux, encouragent l'allaitement maternel et déconseillent vigoureusement le lait de vache.
Encore un autre toubib, le Docteur Comet rend le lait de vache responsable de troubles hormonaux par la présence quasi permanente de protéines lactées dans la région hypophysaire provoquant des freins hormonaux responsables de troubles des règles, de stérilité, de prise de poids, de mastoses et de kystes bénins de la glande mammaire. Par son acide butyrique corrosif pour l'être humain, mais physiologique pour le veau, il constate la présence de toxines agissant sur le foie qui sont responsables de nombreuses crises de foie, de colites, d'infections, de maux de tête, de rhumatismes.
Il conseille à la femme ménopausée de ne pas consommer de laitages à cause du risque d'ostéoporose car on obtient les effets contraires d'une reminéralisation avec les produits laitiers. Le lait de vache est trois fois trop riche en calcium et pas assez en vitamine D qui fixe le calcium.
Il observe également que l'acide butyrique contenu dans le lait, le beurre et le fromage attaque la paroi intestinale, permettant un passage dans le sang des résidus contenus dans les excréments qui pourront être digérés. Cela équivaut à une surdigestion des excréments, phénomène normal chez le veau sous la mère qui grossit ainsi de 1 kg par jour pendant 6 mois, mais qui au-delà de cet âge, ne se nourrira que de végétaux.
Chez le Docteur A Narodetzki observe que le lait de vache contient des germes infectieux parce que les vaches sont souvent atteintes d'une maladie infectieuse et de phtisie (sommelière). Son usage peut transmettre la tuberculose dans les poumons, le cerveau (méningite), les os et autres organes, la scarlatine et provoquer la diarrhée verte chez les nourrissons. Le lait est défendu dans l'enterocolite muco-membraneuse, dans les entérites parce qu'il favorise les bacilles protéolytiques qui existent dans les entérites et provoque des gaz, des ballonnements, et des douleurs.
Le Professeur Reinert (centre hospitalier intercommunal de Créteil) donne une information intéressante : "les anticorps IGA dans le lait maternel ont certes un rôle important mais les cellules vivantes comme les lymphocytes.11 et les macrophages sécréteurs d'interféron transmettent sans doute une information immunitaire durable se prolongeant pendant plusieurs mois" C'est pourquoi il est si important d'allaiter le bébé au sein durant au moins les six premiers mois, et au mieux durant trois ans.
Le Dr Jane Cottinghan, dans son livre "Le biberon bébé", remarque que l'ingestion de lait de vache chez le bébé provoquerait des infections intestinales incluant des diarrhées de type escherichia-coli et autres organismes, entérovirus, tandis que le lait maternel est un anti-infectieux, grâce à la présence d'une sécrétion d'immunoglobuline à lysozyme et de facteur bifidus.
Je m'arrête là....
Maintenant Michaël, j'attends tes contre-arguments pro-lait avec intérêt et j'espère que tu me sortiras autre chose que "best Of" ...