Bien que voilés d'incertitude en raison de l'interprétation des tracés rendue nécessaire par les interférences des ondes électriques trop voisines, ces observations donnent naissance à des hypothèses très vraissemblables :
- Pour les efforts prolongés de faible intensité, les fibres a travail se mettraient au repos avant l'apparition de la fatigue cédant l'action à d'autres fibres. Il y aurait "roptation des unités motrice".
- L'augmentation de l'intensité de la coontraction du muscle serait la conséquence de deux phénomènes :
1/ Le recrutement d'un nombre de plus en plus important d'unités motrice,
2/ La montée progressive du rythme des mpulsions nerveuses.
Pour certains auteurs, le premier phénomène interviendrait avant l'autre, pour d'autres ils seraient simultanés.
Citation tjs extraite du même bouquin.
Ici la loi du TOUT ou RIEN (que j'ai pu lire si svt ds les mags) qui dit qu'une fibre se contracte ou non est donc FAUSSE.
Cela va dans le sens de ce que disait Florence...
Je vais voir si j'arrive à trouver d'autre références.
Il faudrait savoir s'il existe une limite au rythme des impulsions nerveuses... L'auteur dit que la contraction est quasi-continue à 50 HZ.
Si le muscle ne tremble pas, c'est que le rythme est = ou - asynchrone pour chaque fibre. (tjs si je me réfère au bouquin)
EDIT
Ici c'est la loi du tout ou rien qui est "choisi" !!!!
a.Loi du tout ou rien
Une fibre musculaire ne peut pas graduer sa réponse. Si elle reçoit une commande nerveuse, elle répond par une contraction max. Une unité motrice (n fibres musculaires innervées par une seule fibre nerveuse). Une commande nerveuse circulant par cette fibre nerveuse va proposer la contraction max de toutes les FM de l’unité motrice. Pour produire des mouvements progressifs et adaptés, il faut qu’il y ait une régulation qui n’est pas musculaire mais nerveuse à mécanisme de recrutement
La vérité est ailleurss !