Justement, je suis plus (+) convaincus par une étude réalisé sur les femmes que sur les rat, les femme reste quand même ce qui se rapproche le plus de l'homme
L'expérience à aussi été faite sur des jeune femme, et la réponse anabolique restais plus marqué qu'avec des apports protéiné étalé :
"Ok, Ok, beaucoup d'entre vous sont sans doute en pensant que vous n'avez rien en commun avec les femmes âgées. Il suffit de garder avec moi pendant un moment. Ils ont fait la même expérience avec 26 ans les femmes. (2) Curieusement ils ont trouvé très peu d'effet de l'alimentation d'impulsion de protéines sur le bilan azoté chez ces sujets jeunes. Gardez cela à l'esprit ...
Enfin, ils ont trouvé un autre effet de l'alimentation d'impulsion de protéines. Modifications induites par le chiffre d'affaires de protéines le motif d'impulsions protéines pendant 14 jours ont persisté au moins un jour après que les deux sujets jeunes et vieux avaient cessé de l'alimentation. (3) En d'autres termes, leur corps est devenu plus sensible à anaboliquement repas riches en protéines après avoir utilisé une protéine d'impulsion d'alimentation modèle et cela a continué pendant au moins un jour, lorsque l'alimentation normale a été repris".
Vous même quand vous écrivez dans votre livre:
" Dois-je rajouter un repas nocturne: ...Ce concept est faux car nous stokons suffisament de protéines....A contrario cette privation est probablement bénéfique car un un apport constant en acide aminé en quantité importante dans le muscle risquerais de le rendre réfractaire à l'anabolisme."
Puis vous faites l'analogie avec un enfant qui serait trop gâté.
C'est peut-être pour cela qu'ils ont remarqué cet effet intéressent sur l'anabolisme en concentrant l'apport en protéines après une séance. Ceci est peut-être d'autant plus vrai qu'en musculation on nourrit abondamment notre corps et le saturons d'une certaine façon.
Et si je me trompe pas un bilan azoté positif est optimal pour la prise de muscle