Salut à tous,
Pour tout vous dire, une des raisons qui me pousse tôt ou tard dans une salle, c'est que si je ne m'entraine pas régulièrement le soir, j'ai des fringales de sucré/salé comme pas possible et ça finit systématiquement par des gateaux apéritifs et des tonnes de chocolat, et tout ça avec déprime à la clé.
Exemple simple en cette fin d'année, une boite de crottes en chocolat au praliné d'un kilo (non non pas d'erreur) ne me dure que 3 jours dans le meilleur des cas
. A moi seul je pourrais sauver l'industrie du chocolat
.
J'ai l'impression que je suis comme l'accro à la clope qui en rallume une autre quand il vient d'en finir une
et le seul moyen qui me permet d'éviter la catastrophe est l'entrainement lourd...
Pour ceux qui se reconnaitraient, j'ai trouvé un site qui m'a permis de comprendre ce qui se passe:
. En fait c'est un problème de glycémie basse quasi-constamment (évenuellement à cause d'un pancréas suractif qui génère de l'insuline à tout va) , ce qui pousse à trouver des glucides rapides pour se soulager, le problème étant que l'effet est éphémère et bientôt il faut une autre dose pour compenser le malaise qui se reproduit
ce qui revient à un comportement de drogué.
Après plusieurs semaines de reprise sérieuse, d'entrainement quasi-journalier et de régime protéiné à base de thon, crevettes, poulet, dinde, et lait, je me suis livré ces derniers jours à une expérience:
Je me suis acheté de nouveau des gateaux en chocolat et des biscuits apéritifs pour voir comment j'allais réagir...
Et bien bonne nouvelle, si j'aime toujours le chocolat et les apéritifs mais ce n'est plus comme avant: je les apprécie comme un simple amuse-gueule ou un bonbon, comme un gourmet et plus comme un gourmant. Ca reste bon mais sans plus, ça ne me parait plus indispensable
.
Par ailleurs j'ai remarqué que mon goût de la viande (naturellement très bas) est en train de devenir de plus en plus présent, c'est signe que le corps commence à réclamer des protéines et donc qu'il en à besoin et qu'il va les fixer
.
Je me rappelle à l'époque ou j'étais bien musclé suite à 2 ans de pratique assidûe, et bien j'avais complètement perdu le goût du sucré, en revanche j'étais devenu complètement accro à la viande et tout ce qui est protéiné.
Annectode amusante, lorsque j'ai fait mon régime anti-bide sur deux semaines avec 500 calories par jour, exclusivement à base de thon et crevettes avec repas (si on peut dire
) toutes les trois heures, ce qui m'a permis de perdre 4 kilos de bide en grande partie (les muscles sont restés car je faisait toujours mon entrainement lourd).
Quand j'ai ouvert un paquet de mikado l'odeur du chocolat m'a sauté au visage
alors que d'habitude ça sent rien, je suis devenu hyper sensible pour détecter le chocolat c'est amusant, et ça c'est un signe de manque
.