Eikichi Onizuka a écrit:je dors le jour et vit la nuit
Tiens, un truc simple : note sur une feuille de papier chaque fois que tu manges un truc.
Par ex :
Un croissant
Un demi-saucisson
Un paquet de petit-écolier
Etc.
A la fin de la semaine tu regardes ta liste !
Ça devrait déjà te faire réfléchir...
Et petit à petit, tu essaies de réduire la longueur de la liste.
dois-je me tourner vers les bruleurs de graisse
que dois-je manger en cas de fringalle
va te faire un jeu vidéo, matte un porno...
Eikichi Onizuka a écrit:je m'ennui et je n'arrive pas a penser a autre chose qu'a manger
Bruno Spagnoli a écrit:.....
LEs gens qui vendent ces merdes ce sont des terroristes pour moi.
Raphael a écrit:LEs gens qui vendent ces merdes ce sont des terroristes pour moi.
fais toi des lentilles et laisse ça à ceux qui aiment ça, rien ne t'oblige d'aller au fast food 30 fois par semaine non plus.
Qui vas expliquer les bases de la nutrition puisque les parents n'ont rien appris étant jeune ?
Raphael a écrit:comparaison merdique, c'est une question de volonté, rien à voir avec les nationalistes. c'est pas compliqué d'ouvrir un bouquin pour avoir des notions en bouffe, le gars qui met la faute sur les fast foods c'est un faible, c'est à la portée de tout le monde de s'intéresser à ça. faut pas non plus abuser de cette mentalité d'assisté.
Vincent Lopez a écrit:Raphael a écrit:comparaison merdique, c'est une question de volonté, rien à voir avec les nationalistes. c'est pas compliqué d'ouvrir un bouquin pour avoir des notions en bouffe, le gars qui met la faute sur les fast foods c'est un faible, c'est à la portée de tout le monde de s'intéresser à ça. faut pas non plus abuser de cette mentalité d'assisté.
C'est vrai, mais c'est pas si facile que tu le dis.
Les gens ne pensent pas forcement que c'est important. ya des tas de trucs importants sur lesquels on ne se renseigne pas...
Pour toi celui qui ne se renseigne pas sur la bouffe et qui se plaint des fast food est un faible...
Pour un notaire (par ex, je dis ca au pif) celui qui ne se renseigne pas sur les lois et qui se plaint d'avoir une amende qu'il juge injustifié, est un faible...
pour un autre, celui qui ne se renseigne pas sur les cycles de sommeil et qui a des insomnies est un naze...
je dis pas ça pour les excuser, mais je les comprend. On est tous formaté, et on ne sait pas forcement qu'il y a des solutions... Certains croient que pour maigrir, faut juste manger moins, pasque c'est ce qu'on entend partout. réaction==> "vu qu'on lentend partout, ça doit etre vrai, donc pourquoi se renseigner ?" et vu que manger moins ne les interesse pas, ben ils se renseignent pas...
Si on nous disait à la base "telle chose est importante, telle chose est importante", on y ferai ptet plus attention...
Je trouve que la nutrition devrait etre abordé dès le collège et au lycée. je trouve ça largement plus important que le super programme étalé sur plusieurs mois: "les roches sédimentaires et volcaniques, allez les piti on va aller ramasser des bout de granites dans un volcan"
...
Pour toi celui qui ne se renseigne pas sur la bouffe et qui se plaint des fast food est un faible...
Oui, chacun a ses faiblesses
Nietzsche sort des moralités alors que lui même n'est pas capable de respecter ses moralités
Il se pourrait bien en effet que l'être humain ne soit pas faible par hasard ou malchance ou destin mais soit intrinsèquement faible. Le petit de l'être humain est celui de tous les vivants, qui met, proportionnellement à son temps de vie, le plus de temps à être vitalement autonome. La faiblesse humaine - celle de l'enfant - est telle qu'elle a besoin d'être universellement protégée. On pourrait généraliser : tout au long de son existence l'individu humain est à ce point dépendant de l'existence d'autrui que l'évolution s'est attachée à marquer vitalement l'impératif de la protection du faible.
Autant dire que nous faisons ici l'hypothèse d'une inscription biologique, en l'espèce humaine de l'exigence de protection du faible, qui fonderait le sens de valeurs universelles chez l'homme.
Reste à évaluer l'argument nietzschéen qui ramène toute position d'une valeur universelle à la tentative des faibles d'empêcher les forts d'affirmer leur force. Y a-t-il des valeurs universelles qui puissent ne pas être l'expression du ressentiment ?
A notre sens, on peut très bien, sans sortir de la métaphysique de la volonté de puissance, éviter la justification de la cruauté.
L'exigence universelle de protection du faible serait l'expression de la volonté de puissance définissant l'espèce humaine comme espèce à ce point vulnérable dans le champ de la concurrence entre espèces qu'elle a du se reconnaître une valeur universelle indépendante des intérêts des groupes humains particuliers.
Par exemple la philosophie de Nietzsche est bien incapable de rendre compte du geste de se jeter sous un char pour empêcher la dictature de passer.
Le ressentiment existe, certes. Et il y a des formes de morale qui procèdent certainement du ressentiment. Le ressentiment n'est peut-être qu'une moisissure des valeurs morales lorsque les opportunistes se mettent à s'y intéresser.
Mais il y a des valeurs universelles qui ne peuvent pas être réduites à l'expression d'un ressentiment.
4. Sur un pathos nietzschéen de la violence
Du point de vue d'une volonté de puissance pleinement affirmative telle que Nietzsche la conçoit, le faible est celui qu'on peut "mépriser et maltraiter comme un inférieur", en bref celui qu'on peut faire souffrir car "voir souffrir fait du bien, faire souffrir plus de bien encore."(il y a bien d'autres passages de la même veine, ceux-ci. sont tirés de la Généalogie de la morale - 2° dissertation).
Il y a une complaisance insistante dans ses textes pour les mots et les images de violence.
Mais, face à la mutilation d'un enfant cambodgien par une mine antipersonnelle, tout ce fatras rhétorique de la violence, toutes ces rodomontades apparaissent pour ce qu'elles valent : elles sont le symptôme d'un pathos, elles manifestent une grande misère.
Ne peut-on pas l'interpréter comme l'expression d'une volonté qui n'a pas toute l'assise vitale souhaitable, d'une volonté malade ?
Il faut se sentir en quelque façon impuissant pour fantasmer ainsi sur la domination violente !
Nietzsche a vécu son enfance entre sa mère et sa sœur, il y a grande vraisemblance que ces femmes aient établi avec lui des rapports castrateurs. Voir entre autres : la façon dont Nietzsche parle des femmes ; le traitement que sa sœur a fait subir à son œuvre posthume ; la photo bien connue de Nietzsche en compagnie de sa mère...
Guen a écrit:4. Sur un pathos nietzschéen de la violence
Du point de vue d'une volonté de puissance pleinement affirmative telle que Nietzsche la conçoit, le faible est celui qu'on peut "mépriser et maltraiter comme un inférieur", en bref celui qu'on peut faire souffrir car "voir souffrir fait du bien, faire souffrir plus de bien encore."(il y a bien d'autres passages de la même veine, ceux-ci. sont tirés de la Généalogie de la morale - 2° dissertation).
Il y a une complaisance insistante dans ses textes pour les mots et les images de violence.
Mais, face à la mutilation d'un enfant cambodgien par une mine antipersonnelle, tout ce fatras rhétorique de la violence, toutes ces rodomontades apparaissent pour ce qu'elles valent : elles sont le symptôme d'un pathos, elles manifestent une grande misère.
Ne peut-on pas l'interpréter comme l'expression d'une volonté qui n'a pas toute l'assise vitale souhaitable, d'une volonté malade ?
Il faut se sentir en quelque façon impuissant pour fantasmer ainsi sur la domination violente !
Nietzsche a vécu son enfance entre sa mère et sa sœur, il y a grande vraisemblance que ces femmes aient établi avec lui des rapports castrateurs. Voir entre autres : la façon dont Nietzsche parle des femmes ; le traitement que sa sœur a fait subir à son œuvre posthume ; la photo bien connue de Nietzsche en compagnie de sa mère...
Oui, je suis assez d'accord, mais de là à vouloir qu'ils crèvent...
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