The glycemic index concept is an extension of the fiber hypothesis, suggesting that fiber consumption reduces the rate of nutrient influx from the gut. The glycemic index has particular relevance to those chronic Western diseases associated with central obesity and insulin resistance. Early studies showed that starchy carbohydrate foods have very different effects on postprandial blood glucose and insulin responses in healthy and diabetic subjects, depending on the rate of digestion. A range of factors associated with food consumption was later shown to alter the rate of glucose absorption and subsequent glycemia and insulinemia. At this stage, systematic documentation of the differences that exist among carbohydrate foods was considered essential. The resulting glycemic index classification of foods provided a numeric physiologic classification of relevant carbohydrate foods in the prevention and treatment of diseases such as diabetes. Since then, low-glycemic-index diets have been shown to lower urinary C-peptide excretion in healthy subjects, improve glycemic control in diabetic subjects, and reduce serum lipids in hyperlipidemic subjects. Furthermore, consumption of low-glycemicindex diets has been associated with higher HDL-cholesterol concentrations and, in large cohort studies, with decreased risk of developing diabetes and cardiovascular disease. Case-control studies have also shown positive associations between dietary glycemic index and the risk of colon and breast cancers. Despite inconsistencies in the data, sufficient, positive findings have emerged to suggest that the dietary glycemic index is of potential importance in the treatment and prevention of chronic diseases.
Fabrice SP a écrit:Aussi, je suis très étonné qu'une personne diabétique n'ai jamais entendu parlé de l'indice glycémique (cf. message de Correz).
Fabrice SP a écrit:Bref, j'aimerais votre avis afin de savoir si vous trouvez le sujet suffisamment fiable pour être présenté en exposé sans être pris pour quelqu'un qui sort des idioties(que ce soit le cas ou non)
Les gens sont aussi inconscient tout simplement..
Aussi, je suis très étonné qu'une personne diabétique n'ai jamais entendu parlé de l'indice glycémique (cf. message de Correz).
Julien13 a écrit:Morceaux choisis
Julien13 a écrit:"Tu t'y connais mieux que mon diabétologue ou cardiologue ?"
Moff Tarkin a écrit:Bref l'auto éducation y'a que ça de vrai.
L'auto éducation c'est bien, à condition de pratiquer cela correctement et de prendre le recul nécessaire pour analyser ce que l'on lit. Et ne pas rejeter ce qui va à l'encontre de certains croyances ou convictions que l'on aurait.
Fabrice SP a écrit:Par contre, si tu me dis qu'en FAC de diététique, l'indice glycémique c'est pas très connu, là tu me fais flipper !
Désolé mais c'est complètement faux.Moff Tarkin a écrit:Je confirme, c'est pas connu, comme ça n'est encore que peu connu dans les milieux hospitaliers, aussi bien chez les diét' que les nutritionnistes.
Moff Tarkin a écrit:J'ai bossé en diabéto, dans des brochures récentes, on peut même lire que 200Ml de coca = 20g de glucides, soit 1 grosse pomme. Imaginez un peu le message envoyé.
Et d'ailleurs ils le disent tous ; diabétique, pas de "régime", pas de privation, pas de négation d'une catégorie d'aliment (comprenez surtout féculents et produits laitiers).
Il faut toujours du temps aux positions "officielles" pour se mettre à la page, toujours est-il que même si une disparition des symptômes est possible, ça n'empêchera pas que certains suite à une insulinorésistance ont leurs cellules bêta qui se multiplient pour augmenter la production d'insuline et n'auront donc pas d'hyperglycémie, tandis que chez d'autres, les cellules bêta vont mourir... et cette prédisposition-là , effectivement elle est à vie, elle ne disparaîtra jamais...J'ai ressorti mes cours, les sources "officiellement validées", vous verrez jamais allusion à une possible guérison, mais tjrs à une dégradation de l'état de santé.
Le régime cétogène et/ou le jeûne intermittent semblent avoir des effets "miraculeux" pour les diabétiques de type 2. Pourtant peu de "spécialistes" recommandent cette approche, et préfèrent refiler de l'insuline...qu rapporte.
Moff Tarkin a écrit:Mais les spécialistes disent aux patients (...) Mais même des conseils simples, ils en donnent pas (...).Ils donnent les conseils habituels, ceux là mêmes que les gens n'appliquent pas, ou qui ne sont pas adaptés..
Moff Tarkin a écrit:C'est plus la perte importante de poids et/ou le dégraissement du foie et du pancréas [qui en sont la conséquence] qui sont importants pour guérir du diabète...
Moff Tarkin a écrit:style manger les féculents/glucides après les légumes, protéines, lipides, ça a été prouvé que ça réduisait de 30% la sécrétion insulinique,
Ensuite ce n'est pas forcément "guérir" du T2D, mais au moins supprimer les symptômes. A la reprise de glucides cela peut revenir.
Ca dépend des spécialistes !!! ne généralisons pas.
Ça m’intéresse pour le coup, on m'en avait déjà parlé mais je pensais pas que c'était si important !
Des sources ?
Moff Tarkin a écrit:J'ai vu passer plusieurs fois des études, que j'avais lues, et qui sur la méthode, étaient pertinentes (en même temps y'a pas bcp de biais possibles ni de conflits d'intérêts comme y'a rien à vendre), je te retrouve ça, c'était dans un article de T-nation.
Ok, le CH de Chalon-sur-Saône, où une bonne partie de l'équipe de diets a décidé de se former à la diététique psycho-comportementale (j'ai été légèrement influencé au passage ) et de l'appliquer à leurs patients, notamment pour le DT2, malgré l'incompatibilité apparente (puisqu'il s'agit d'éliminer au maximum les interdictions pour se focaliser sur une régulation intuitive des prises alimentaires). Aucun problème avec les médecins de diabéto.Moff Tarkin a écrit:Des spécialistes en structure hospitalière en tant que salarié ou PH, je pense que je peux généraliser, sauf si ceux ci vont à l'encontre des recommandations, et dans ce cas, je donne pas cher de son diplôme à long terme (ou alors je veux des noms ! ).
Ok, le CH de Chalon-sur-Saône, où une bonne partie de l'équipe de diets a décidé de se former à la diététique psycho-comportementale (j'ai été légèrement influencé au passage ) et de l'appliquer à leurs patients, notamment pour le DT2, malgré l'incompatibilité apparente (puisqu'il s'agit d'éliminer au maximum les interdictions pour se focaliser sur une régulation intuitive des prises alimentaires). Aucun problème avec les médecins de diabéto.
These findings provide more detailed evidence to suggest that diets differing substantially in glycemic load induce comparable long-term weight loss.
Fabrice SP a écrit:Mais comme je n'ai pas le courage de décortiquer l'étude, je vais en rester avec mon étonnement... J'attends un article résumant l'étude sur ton site Loïc !
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